Climat: «Il faut un signal fort de la mobilisation de ressources»
Plus de 120 chefs d'Etat et de gouvernement se sont réunis, ce mardi 23 septembre, au siège de l’ONU, à New York pour un sommet sur le climat pour tenter de donner un nouvel élan aux négociations internationales sur le réchauffement climatique. On attend en principe de la part des participants des engagements qui devraient faciliter un accord contraignant à la Conférence de Paris, fin 2015. Tosi Mpanu Mpanu est à New York et fait partie du Conseil d’administration du «Fonds vert» qui avait été créé lors du sommet de Copenhague pour aider les pays en développement à faire face aux conséquences du changement climatique. Il est l’Invité d’Afrique Soir et répond aux questions de Nathalie Amar.
En République démocratique du Congo, 77% de émissions de gaz à effet de serre proviennent de la déforestation et de la dégradation des forêts. Getty Images/Peter Arnold/Martin Harvey
Nous estimons, en tant que pays en développement, que pour pouvoir s’engager dans un nouvel accord et dans une gouvernance climatique internationale, il faut que les actions que nous allons entreprendre soient accompagnées par des moyens de mise en œuvre suffisants, c'est-à-dire du transfert de technologies, des ressources financières et un renforcement des capacités.
Tosi Mpanu MpanuMembre du Conseil d’administration du « Fonds vert ».
Mercredi 24 Septembre 2014 10:46
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