
Le mois de mars 2025 a été particulièrement contrasté sur le plan météorologique au Sénégal, avec des épisodes maritimes agités sur le littoral et une vague de chaleur intense dans l’Est et le Sud-Est du pays. Le bulletin mensuel de suivi météorologique révèle une situation influencée par des dynamiques régionales, mais aussi par des signes persistants du changement climatique.
Mer agitée : vents forts et houles dangereuses
La première décade de mars a été marquée par plusieurs épisodes de vent fort et de houles dangereuses le long des côtes. Du 5 au 8 mars, des vents de secteur nord atteignant jusqu’à 40 km/h ont été enregistrés sur Dakar, la Petite-Côte et la Casamance, notamment entre 16h et 23h.
Dans le même intervalle, une houle de secteur nord supérieure à 2,5 mètres a touché la Grande-Côte, Dakar et les zones offshore (jusqu’à 80 km) de la Petite-Côte et de la Casamance, rendant la navigation difficile et dangereuse pour les embarcations légères.
Un deuxième épisode de vent soutenu a également été observé du 29 mars (18h) au 1er avril (6h), avec des rafales atteignant ou dépassant 40 km/h sur l’ensemble du littoral.
Températures : fraîcheur côtière et canicule dans l’intérieur
Sur le plan thermique, mars 2025 s’est distingué par une fraîcheur inhabituelle sur le littoral, en rupture avec les moyennes climatologiques de la période 1991–2020. À Dakar, Cap-Skirring et Saint-Louis, les températures maximales sont restées en dessous de 26°C durant les dix premiers jours du mois.
Cap-Skirring a connu le mois de mars le plus frais jamais enregistré, avec des températures maximales variant entre 25 et 30°C. À Dakar, bien que les températures aient été inférieures aux normales saisonnières, aucun record historique n’a été battu.
En revanche, l’intérieur du pays a été confronté à une vague de chaleur sévère. Entre le 15 et le 23 mars, les régions de Bakel, Matam, Kédougou, Tambacounda et Simenti ont enregistré de fortes chaleurs, culminant à 46,0°C à Bakel le 21 mars, un pic exceptionnel qui s’inscrit dans une séquence prolongée de températures extrêmes.
Mer agitée : vents forts et houles dangereuses
La première décade de mars a été marquée par plusieurs épisodes de vent fort et de houles dangereuses le long des côtes. Du 5 au 8 mars, des vents de secteur nord atteignant jusqu’à 40 km/h ont été enregistrés sur Dakar, la Petite-Côte et la Casamance, notamment entre 16h et 23h.
Dans le même intervalle, une houle de secteur nord supérieure à 2,5 mètres a touché la Grande-Côte, Dakar et les zones offshore (jusqu’à 80 km) de la Petite-Côte et de la Casamance, rendant la navigation difficile et dangereuse pour les embarcations légères.
Un deuxième épisode de vent soutenu a également été observé du 29 mars (18h) au 1er avril (6h), avec des rafales atteignant ou dépassant 40 km/h sur l’ensemble du littoral.
Températures : fraîcheur côtière et canicule dans l’intérieur
Sur le plan thermique, mars 2025 s’est distingué par une fraîcheur inhabituelle sur le littoral, en rupture avec les moyennes climatologiques de la période 1991–2020. À Dakar, Cap-Skirring et Saint-Louis, les températures maximales sont restées en dessous de 26°C durant les dix premiers jours du mois.
Cap-Skirring a connu le mois de mars le plus frais jamais enregistré, avec des températures maximales variant entre 25 et 30°C. À Dakar, bien que les températures aient été inférieures aux normales saisonnières, aucun record historique n’a été battu.
En revanche, l’intérieur du pays a été confronté à une vague de chaleur sévère. Entre le 15 et le 23 mars, les régions de Bakel, Matam, Kédougou, Tambacounda et Simenti ont enregistré de fortes chaleurs, culminant à 46,0°C à Bakel le 21 mars, un pic exceptionnel qui s’inscrit dans une séquence prolongée de températures extrêmes.
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