Venu assister à la conférence de presse du Front démocratique pour une élection inclusive dont il est membre, ce dimanche, Cheikh Tidiane à l’entame de ses propos à tenu à apporter des éclaircissements sur la suggestion de Me. Amadou Kane invitant Macky Sall à « démissionner afin que le processus électoral puisse continuer normalement ». Pour Gadio, cela n’engage aucunement le front, c’est juste une demande de l’avocat et rien de plus. Revenant sur la décision du Conseil constitutionnel, il soutient que celui-ci a fait exprès de laisser une petite marge, une latitude aux acteurs politiques et surtout aux forces vives de la nation.
« Cette concertation nationale devrait impliquer effectivement les forces vives de la nation. On a même entendu des gens proposer que le dialogue national soit restreint aux 20 candidats retenus, cela veut dire donc que des gens qui veulent diriger le pays nous disent d’emblée pour une question, ils vont s’isoler pour parler au nom du pays, ce qui est inacceptable. Le Sénégal est dans une crise tout le monde le sait donc nous avons besoin de toutes les propositions, de toutes les intelligences pour discuter d’une question qui d’ailleurs ne concerne pas que seulement les 20 Candidats et ce qui a été dit ici, l’a prouvé », a indiqué Cheikh Tidiane Gadio.
« Nous avons suivi les polémiques à gauche et à droite. Nous conseillons aux Sénégalais qu’en période de crise il faut un peu plus d’humilité, il faut que les experts puissent s’exprimer mais que les politiques aussi puissent donner leurs analyses et que tous les fils et toutes les filles du Sénégal aient le droit à la parole pour faire avancer notre pays, ça c’est important pour nous », a -t-il souligné.
Gadio qui n’a visiblement pas encore digéré le fait qu’il soit mis hors-jeu indexe les candidats retenus pour la course vers le palais et veut une reprise totale du processus. « Concernant la question de la reprise intégrale du processus électoral pour nous ça relevé du bon sens parce que ce que nous n’avons pas apprécié et nous l’avons dit et on va le redire encore à nos compatriotes. il s’est passé 3 à 4 choses importantes et graves dans le processus électoral et pourtant certains on décidé que tout cela n’est pas important que ce qui est important, c’est qu’il faut aller au scrutin le 25 février et maintenant ils sont dans les médias entrain de donner une date et on voit des médias étrangers informer le monde qu'effectivement le Conseil constitutionnel a ordonné au président Macky Sall d’organiser les élections avant le 2 avril et donc le président est obligé d’appeler les élection où le trois ou le 10.
Cheikh T Gadio invite les Sénégalais, surtout la classe politique à respect les membres du Conseil constitutionnel. « Il faut aussi qu’on soit très claire sur certains points. Nous sommes victimes d’injustice et des juges ont été accusé en plein processus électoral, n’oubliez que demain, ce sont eux qui doivent proclamer le nouveau président du Sénégal et prendre le serment du président ou la présidente que nous aurons élu. Donc c’est important pour nous de respecter le Conseil constitutionnel d’avoir une vision du conseil composé de grande personnalité sénégalaise d’une grande intégrité, d’une grande moralité. Si nous n’avons pas confiance en cette institution notre état de droit s’effondre », a -t-il lancé.
Faisant allusion aux candidats retenus : « les gens qui sont pressés, qui sont dans le 100 mètres, qui veulent coûte que coûte arriver au point parce qu’ils sont à peut-être sûr qu’ils vont gagner les élections, tout est plié. Ces gens-là ne veulent pas entendre parler de comment ont règle la question du Conseil constitutionnel, comment régler la question d’une liste de candidats. Dieu n’aime pas l’injustice, c’est pourquoi on a maintenant cette situation. Le Sénégal fait face à des problèmes. Allons à la concertation nationale, allons, parlons, réglons nos problèmes entre sénégalais, montrons la voie à l’Afrique qu’au Sénégal, quand il y a des problèmes les Sénégalais savent se parler et se réconcilier », a soutenu Gadio.
« Cette concertation nationale devrait impliquer effectivement les forces vives de la nation. On a même entendu des gens proposer que le dialogue national soit restreint aux 20 candidats retenus, cela veut dire donc que des gens qui veulent diriger le pays nous disent d’emblée pour une question, ils vont s’isoler pour parler au nom du pays, ce qui est inacceptable. Le Sénégal est dans une crise tout le monde le sait donc nous avons besoin de toutes les propositions, de toutes les intelligences pour discuter d’une question qui d’ailleurs ne concerne pas que seulement les 20 Candidats et ce qui a été dit ici, l’a prouvé », a indiqué Cheikh Tidiane Gadio.
« Nous avons suivi les polémiques à gauche et à droite. Nous conseillons aux Sénégalais qu’en période de crise il faut un peu plus d’humilité, il faut que les experts puissent s’exprimer mais que les politiques aussi puissent donner leurs analyses et que tous les fils et toutes les filles du Sénégal aient le droit à la parole pour faire avancer notre pays, ça c’est important pour nous », a -t-il souligné.
Gadio qui n’a visiblement pas encore digéré le fait qu’il soit mis hors-jeu indexe les candidats retenus pour la course vers le palais et veut une reprise totale du processus. « Concernant la question de la reprise intégrale du processus électoral pour nous ça relevé du bon sens parce que ce que nous n’avons pas apprécié et nous l’avons dit et on va le redire encore à nos compatriotes. il s’est passé 3 à 4 choses importantes et graves dans le processus électoral et pourtant certains on décidé que tout cela n’est pas important que ce qui est important, c’est qu’il faut aller au scrutin le 25 février et maintenant ils sont dans les médias entrain de donner une date et on voit des médias étrangers informer le monde qu'effectivement le Conseil constitutionnel a ordonné au président Macky Sall d’organiser les élections avant le 2 avril et donc le président est obligé d’appeler les élection où le trois ou le 10.
Cheikh T Gadio invite les Sénégalais, surtout la classe politique à respect les membres du Conseil constitutionnel. « Il faut aussi qu’on soit très claire sur certains points. Nous sommes victimes d’injustice et des juges ont été accusé en plein processus électoral, n’oubliez que demain, ce sont eux qui doivent proclamer le nouveau président du Sénégal et prendre le serment du président ou la présidente que nous aurons élu. Donc c’est important pour nous de respecter le Conseil constitutionnel d’avoir une vision du conseil composé de grande personnalité sénégalaise d’une grande intégrité, d’une grande moralité. Si nous n’avons pas confiance en cette institution notre état de droit s’effondre », a -t-il lancé.
Faisant allusion aux candidats retenus : « les gens qui sont pressés, qui sont dans le 100 mètres, qui veulent coûte que coûte arriver au point parce qu’ils sont à peut-être sûr qu’ils vont gagner les élections, tout est plié. Ces gens-là ne veulent pas entendre parler de comment ont règle la question du Conseil constitutionnel, comment régler la question d’une liste de candidats. Dieu n’aime pas l’injustice, c’est pourquoi on a maintenant cette situation. Le Sénégal fait face à des problèmes. Allons à la concertation nationale, allons, parlons, réglons nos problèmes entre sénégalais, montrons la voie à l’Afrique qu’au Sénégal, quand il y a des problèmes les Sénégalais savent se parler et se réconcilier », a soutenu Gadio.
Autres articles
-
15e Législature : voici la liste complète des députés élus
-
Le Président Diomaye Faye ambitionne de faire du Sénégal un modèle en matière de gestion de l'eau et d’assainissement
-
Plainte contre Arcop : la Cour suprême déboute l'Aser
-
Assemblée nationale : Aliou Ndao promet un "nouveau type de Parlement" au peuple
-
"Le pool judiciaire financier, trop limité pour réussir", (Aliou Ndao, ancien procureur)