Aujourd’hui, la coalition Diomaye Président et Taxawu s’éloignent davantage du calumet de la paix. Diomaye Président issue des flancs du Pastef, suite à sa dissolution, incarne l’entité Yewi Askan Wi. Ces deux (Yewi et Taxawou) se chérissaient et se vouaient un respect mutuel aux premières heures de leur mis en place.
Mais dans le contexte actuel, on dirait un amour de jeunesse qui s’usant avec le temps laisse apparaître des ratés bien propres aux politiques. Le compagnonnage entre les deux a commencé dans un contexte où il fallait être ensemble ou périr. C’est la fable des porcs- épics du philosophe allemand Arthur Schopenhauer. Dans cette fable fait savoir le philosophe, « par instinct de survie, pendant l’hiver ces animaux se serrent les uns contre les autres pour se tenir chaud. Ils cherchent une situation intermédiaire acceptable, le temps de l’hiver ».
C’est à cette image que se prête le mariage entre les partisans de Diomaye et Taxawou. Dont la césure devient de jour en jour béante. Et les évènements de samedi passé à Grand Yoff attestent cet état de fait. La coalition Diomaye Président montre du doigt Taxawou l’accusant d’avoir saboté ce rassemblement (FIPPU), par des attaques de nervis.
Face à la presse ce dimanche, le secrétaire général national de la jeunesse patriotique sénégalaise (JPS), Alexandre Mapal Sambou a utilisé la métaphore qui suit pour parler des évènements de samedi passé. En substance dit-il, « le loup est maintenant dans la bergerie, il n’est plus devant l’enclos. Et parfois, il se déguise en agneau ». C’est à ce stade où se trouvent les deux. Si l’on tente de lire entre les lignes.
Dans un cadre général, la méfiance et plus le mépris sont en train de perdre les alliés d’hier. Certains propos inconvenants sont de plus perceptibles. En ce moment les politologues et autres observateurs de la vie politiques s’emploient à comprendre les comportements des deux camps.
Mais dans le contexte actuel, on dirait un amour de jeunesse qui s’usant avec le temps laisse apparaître des ratés bien propres aux politiques. Le compagnonnage entre les deux a commencé dans un contexte où il fallait être ensemble ou périr. C’est la fable des porcs- épics du philosophe allemand Arthur Schopenhauer. Dans cette fable fait savoir le philosophe, « par instinct de survie, pendant l’hiver ces animaux se serrent les uns contre les autres pour se tenir chaud. Ils cherchent une situation intermédiaire acceptable, le temps de l’hiver ».
C’est à cette image que se prête le mariage entre les partisans de Diomaye et Taxawou. Dont la césure devient de jour en jour béante. Et les évènements de samedi passé à Grand Yoff attestent cet état de fait. La coalition Diomaye Président montre du doigt Taxawou l’accusant d’avoir saboté ce rassemblement (FIPPU), par des attaques de nervis.
Face à la presse ce dimanche, le secrétaire général national de la jeunesse patriotique sénégalaise (JPS), Alexandre Mapal Sambou a utilisé la métaphore qui suit pour parler des évènements de samedi passé. En substance dit-il, « le loup est maintenant dans la bergerie, il n’est plus devant l’enclos. Et parfois, il se déguise en agneau ». C’est à ce stade où se trouvent les deux. Si l’on tente de lire entre les lignes.
Dans un cadre général, la méfiance et plus le mépris sont en train de perdre les alliés d’hier. Certains propos inconvenants sont de plus perceptibles. En ce moment les politologues et autres observateurs de la vie politiques s’emploient à comprendre les comportements des deux camps.