Le Collectif des maires pour la défense des intérêts des communes constitué de 114 maires, répartis dans 30 départements du Sénégal a dénoncé sa marginalisation voire sa mise à l’écart. «En effet, devant le manque de dynamisme de nos structures faitières à défendre les intérêts des maires, et l’absence de décisions annoncées des autorités compétentes surtout lors de leur passage à l’Assemblée nationale, nous avons jugé nécessaire de mettre en place ce nouveau cadre d’échanges et de réflexions interactifs afin de porter un plaidoyer fort pour nos collectivités territoriales», ont-ils expliqué.
Les membres du collectif, renseigne Walf Net, ont listé leurs exigences portant sur la non-concrétisation de certains engagements pris lors de la dernière journée de décentralisation. «C’est le cas des 20 milliards de francs Cfa que le gouvernement du Sénégal devait investir dans le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN) rural, la contribution économique locale, le retard dans la mise en place des fonds de concours, les indemnités de transport avec l’achat de véhicules de fonction des maires, la mise à disposition de passeports diplomatiques, et la prolongation au 31 décembre du délai clôturant les engagements», a relevé le maire de la Commune de Taïf, Mbaye Tine.
Les membres du collectif, renseigne Walf Net, ont listé leurs exigences portant sur la non-concrétisation de certains engagements pris lors de la dernière journée de décentralisation. «C’est le cas des 20 milliards de francs Cfa que le gouvernement du Sénégal devait investir dans le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (PACASEN) rural, la contribution économique locale, le retard dans la mise en place des fonds de concours, les indemnités de transport avec l’achat de véhicules de fonction des maires, la mise à disposition de passeports diplomatiques, et la prolongation au 31 décembre du délai clôturant les engagements», a relevé le maire de la Commune de Taïf, Mbaye Tine.