Après d'importants affrontements, la 58e division sri-lankaise a pénétré dans Puthukudiyiruppu, le dernier bastion des Tigres de libération de l'Eelam Tamoul (TLET) avec une poignée de petits villages côtiers.
Les forces gouvernementales "sont dans Puthukudiyiruppu et luttent pour son contrôle", a dit un porte-parole du ministère de la Défense.
Lundi, Reuters était présent sur le front à l'ouest de la ville, que le commandant de la 58e division, le Brigadier Shavendra Silva, a qualifiée d'"objectif final".
L'armée sri-lankaise espère rapidement mettre un terme à la rébellion séparatiste tamoule, dont les forces, repoussées dans le nord-ouest du pays, combattent le gouvernement de Colombo depuis 1983.
La présence entre les belligérants de dizaines de milliers de civils ralentit néanmoins les opérations, a dit l'armée sri-lankaise. Selon les forces gouvernementales, il reste au maximum 70.000 personnes dans la fine bande de territoire encore disputée par les deux camps, alors que les organisations humanitaires estiment ce chiffre à 200.000.
Affirmant que l'artillerie de l'armée sri-lankaise tue actuellement entre 50 et 100 civils tamouls chaque jour, les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) ont fait part lundi à l'Onu de leur volonté d'accepter un cessez-le-feu.
Les séparatistes ont toutefois rejeté les appels au désarmement et à la reddition, jugeant nécessaire de conserver leurs armes pour la survie de la minorité tamoule de l'ancienne Ceylan.
Source : reuters
Les forces gouvernementales "sont dans Puthukudiyiruppu et luttent pour son contrôle", a dit un porte-parole du ministère de la Défense.
Lundi, Reuters était présent sur le front à l'ouest de la ville, que le commandant de la 58e division, le Brigadier Shavendra Silva, a qualifiée d'"objectif final".
L'armée sri-lankaise espère rapidement mettre un terme à la rébellion séparatiste tamoule, dont les forces, repoussées dans le nord-ouest du pays, combattent le gouvernement de Colombo depuis 1983.
La présence entre les belligérants de dizaines de milliers de civils ralentit néanmoins les opérations, a dit l'armée sri-lankaise. Selon les forces gouvernementales, il reste au maximum 70.000 personnes dans la fine bande de territoire encore disputée par les deux camps, alors que les organisations humanitaires estiment ce chiffre à 200.000.
Affirmant que l'artillerie de l'armée sri-lankaise tue actuellement entre 50 et 100 civils tamouls chaque jour, les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) ont fait part lundi à l'Onu de leur volonté d'accepter un cessez-le-feu.
Les séparatistes ont toutefois rejeté les appels au désarmement et à la reddition, jugeant nécessaire de conserver leurs armes pour la survie de la minorité tamoule de l'ancienne Ceylan.
Source : reuters
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