Retraité depuis 2005 avant d’être nommé ambassadeur au Portugal, le Général Pathé Seck a fait son retour en force au mois d’octobre dernier dans le gouvernement. Mais force est de dire que tout ne se passe pas comme il se doit au ministère de l’Intérieur. « Comment expliquer qu’en plus des ressources dans la Police provoqués par le scandale de drogue à la tête de l’Office central de répression de Trafic illicite de Stupéfiants (OCRTIS) viennent s’ajouter des vacances de postes dans le commandement territorial ? », se demande-t-on dans le journal « L’As ». Cela, malgré l’immense potentiel de ressources humaines dont dispose le ministre de l’intérieur.
En cette période d’hivernage où des populations de la lointaine banlieue ne dorment plus que d’un seul œil à cause du spectre des inondations des circonscriptions administratives sensibles sont dépourvues d’adjoint au préfet. C’est le cas de Dakar, Pikine, Rufisque, Tivaouane, Kaolack, Bambèye, Nioro, etc. A ces manquements, se greffe le fait que des agents admis à faire valoir leurs droits à la retraite continuent de signer des actes au nom de l’Etat alors que juridiquement, cela ne doit pas être le cas. Une autre incongruité est à inscrire sur la liste. Certains décrets sont très mal pris. En atteste le cafouillage dans l’affectation du préfet de Mbacké à Thiès puis à Pikine sans qu’il ait finalement pris service. Pourtant, cette situation a été fortement décriée sous l’ancien régime mais continue de plus belle.
En cette période d’hivernage où des populations de la lointaine banlieue ne dorment plus que d’un seul œil à cause du spectre des inondations des circonscriptions administratives sensibles sont dépourvues d’adjoint au préfet. C’est le cas de Dakar, Pikine, Rufisque, Tivaouane, Kaolack, Bambèye, Nioro, etc. A ces manquements, se greffe le fait que des agents admis à faire valoir leurs droits à la retraite continuent de signer des actes au nom de l’Etat alors que juridiquement, cela ne doit pas être le cas. Une autre incongruité est à inscrire sur la liste. Certains décrets sont très mal pris. En atteste le cafouillage dans l’affectation du préfet de Mbacké à Thiès puis à Pikine sans qu’il ait finalement pris service. Pourtant, cette situation a été fortement décriée sous l’ancien régime mais continue de plus belle.