L’artiste-comédien n’admet pas qu’on parle de 2017 comme année culturelle au Sénégal, ainsi que l’a décrétée le président Macky Sall. «Je lui conseillerai de faire de l’année 2018, année de la culture», dit-il.
Dans ce sillage, Malick Ndiaye croit qu’il «faut bien penser cette décision et mettre déjà des choses en place».
«Quand on décrétait cette année, année culturelle, j’avais souhaité qu’il y est un thème pour qu’on puisse travailler là-dessus. Qu’il est un sujet assez développé pour la vie des artistes parce que nous avons des problèmes. On me dira qu’on a créé des mutuelle un peu partout mais ce n’est pas ça la vie des artistes, c’est autre chose qu’une mutuelle de santé. C’est quand même bien, on ne va pas rejeter mais moi, je le voyais autrement. On a fêté le 4 avril, est-ce que vous avez vu les artistes défiler ? Alors qu’on a parlé de l’année de la culture, on aurait dû l’inclure dans le thème du défilé, étant donné que tout est culturel. Moi, j’envisageais de voir un artiste défiler, portant les habits de Lat Dior, Alboury. Je dis et redis que l’Armée ne pourra jamais marcher sans la culture», souscrit-il dans un entretien dans «Vox Populi».
Dans ce sillage, Malick Ndiaye croit qu’il «faut bien penser cette décision et mettre déjà des choses en place».
«Quand on décrétait cette année, année culturelle, j’avais souhaité qu’il y est un thème pour qu’on puisse travailler là-dessus. Qu’il est un sujet assez développé pour la vie des artistes parce que nous avons des problèmes. On me dira qu’on a créé des mutuelle un peu partout mais ce n’est pas ça la vie des artistes, c’est autre chose qu’une mutuelle de santé. C’est quand même bien, on ne va pas rejeter mais moi, je le voyais autrement. On a fêté le 4 avril, est-ce que vous avez vu les artistes défiler ? Alors qu’on a parlé de l’année de la culture, on aurait dû l’inclure dans le thème du défilé, étant donné que tout est culturel. Moi, j’envisageais de voir un artiste défiler, portant les habits de Lat Dior, Alboury. Je dis et redis que l’Armée ne pourra jamais marcher sans la culture», souscrit-il dans un entretien dans «Vox Populi».