Professeur Ngom, qui a dirigé l’opération des soeurs siamoises
Sophie et Adja, les soeurs siamoises nées le 2 novembre 2018 à l’hôpital de Pikine, ont été opérées avec succès après 48 jours de vie à l’hôpital Albert Royer de Fann, hier mercredi 19 décembre 2018.
Face à la presse, ce jeudi matin, l’équipe chirurgicale dudit hôpital dont le professeur Gabriel Ngom en tête, a rassuré sur l’état de santé des jumelles ainsi que de leur maman. « La maman a subi une césarienne pour l’extraction des bébés et elle se porte bien. Et pour ce qui est des nouveau-nées, elles ont toutes les deux les organes en place. Donc y’a pas de raisons qu’elles ne puissent pas vivre comme tout les autres enfants qui sont nés sans malformation », renseigne t-il.
Toutefois, le Pr Ngom a souligné que l’une des jumelles présente une malformation du cœur, détectée avant l’intervention chirurgicale et que celle-ci n’est ni très grave ni incompatible avec la survie de l’enfant. Mais cela n’empêchera pas un suivi minutieuse de leur part pour ainsi s’enquérir de son état de santé.
Au Sénégal plus 10 cas de soeurs siamoises ont été notés. Seules celles de 2003 à l’hôpital de Dantec et celles de 2018 présentement, ont pu être séparées avec succès. « C’est parce qu’il y’a eu une bonne planification. Avant l’intervention, tous les acteurs qui devraient être impliqués avant l’opération ont été impliqués et les radiologues nous ont dit comment les siamoises ont été unies, les pédiatres, les anesthésistes, les chirurgiens ainsi de suite. Et on a régulièrement tenu des réunions de coordination pour planifier cette opération », conclu t-il.
Face à la presse, ce jeudi matin, l’équipe chirurgicale dudit hôpital dont le professeur Gabriel Ngom en tête, a rassuré sur l’état de santé des jumelles ainsi que de leur maman. « La maman a subi une césarienne pour l’extraction des bébés et elle se porte bien. Et pour ce qui est des nouveau-nées, elles ont toutes les deux les organes en place. Donc y’a pas de raisons qu’elles ne puissent pas vivre comme tout les autres enfants qui sont nés sans malformation », renseigne t-il.
Toutefois, le Pr Ngom a souligné que l’une des jumelles présente une malformation du cœur, détectée avant l’intervention chirurgicale et que celle-ci n’est ni très grave ni incompatible avec la survie de l’enfant. Mais cela n’empêchera pas un suivi minutieuse de leur part pour ainsi s’enquérir de son état de santé.
Les échographies n'avaient pourtant montré qu'un seul enfantN’ayant pas reçu très tôt le diagnostic de la patiente qui devait se savoir grâce à l’échographie, le Pr Ngom informe qu’en effet "les deux échographies passées par la maman ont montré qu’elle était enceinte d’un seul enfant". Ce qui n’était pas le cas après la naissance.
Au Sénégal plus 10 cas de soeurs siamoises ont été notés. Seules celles de 2003 à l’hôpital de Dantec et celles de 2018 présentement, ont pu être séparées avec succès. « C’est parce qu’il y’a eu une bonne planification. Avant l’intervention, tous les acteurs qui devraient être impliqués avant l’opération ont été impliqués et les radiologues nous ont dit comment les siamoises ont été unies, les pédiatres, les anesthésistes, les chirurgiens ainsi de suite. Et on a régulièrement tenu des réunions de coordination pour planifier cette opération », conclu t-il.