Pour Idrissa Seck, ancien Premier ministre sous Abdoulaye Wade, allié d’aujourd’hui de Macky Sall, son ancien mentor n’a pas laissé un pays avec des caisses vides. Des déclarations des actuelles autorités que les Sénégalais dotés de bon sens n’avaient pas prises au sérieux. Mais les autorités qui le disaient, s’adressaient à une masse impatiente de voir les retombées des promesses et engagements électoraux. Cette affirmation étant tout de même suffisante pour donner davantage d’arguments à ceux qui soutiennent qu’Abdoulaye Wade a mis à genoux le Sénégal avant de partir et de ranger aux oubliettes ses différentes réalisations.
Idrissa Seck réhabilite ainsi un peu Abdoulaye Wade. Simple calcul politique ou de l’honnêteté qui peut tant soit peu payer en politique. Et c’est ce même Idrissa Seck qui dit avoir pour Wade une affection infinie jusqu’à la tombe qui lui souhaitait une retraite semblable à celle de Nelson Mandela. Même si cela n’est pas possible à cause des actes de défiance posés par le Vieux contre la volonté du Peuple, les morts sur la marche vers les dernières présidentielles, la mauvaise gestion, Wade mérite tout de même respect et considération de la part des Sénégalais. Surtout que celui qui s’est battu durant 26 ans à faire avancer notre démocratie, à faire rêver des générations entières, n’était pas seul dans sa gestion du pouvoir. Des autorités qui ont aujourd’hui la destinée du pays entre leurs mains ont laissé Wade faire. Elles n’ont pas résisté à l’intérieur du système, elles n’ont jamais levé le plus petit doigt ou regardé Wade dans les yeux pour lui demander d’arrêter. Ces gens doivent arrêter d’insulter le parcours historique du pape du Sopi et de s’occuper des soucis des Sénégalais.
C’est aussi pour cela que nous ne pouvons pas accepter que des journalistes, experts dans l’escroquerie journalistique se permettent de parler d’une certaine manière de l’ancien président du Sénégal. Dans un article intitulé : « Sénégal : Les Wade, une famille décomposée », le magazine panafricain, Jeune Afrique, veut nous faire croire qu’Abdoulaye Wade et son épouse sont à la limite malheureux dans leur nouvelle vie. Ces journalistes qui parlent ainsi de cette famille ont hier profité de leur gestion pour bouffer nos millions à travers des publi-reportages pour le bon vouloir du Prince. C’est ingrat de nous faire croire que vous donnez ainsi un sens à l’actualité africaine. Heureusement que le jeu de ces mercenaires de la plume est compris depuis belle lurette en Afrique. L’Afrique qui lit vous comprend, l’Afrique qui écoute et qui regarde est bien servie à l’intérieur pour comprendre. C’est ce que je crois !
Pour les proches d’Abdoulaye Wade, en politique comme dans la famille, nous vous demandons de l’assister pour la transmission de toutes ses idées, ses rêves pour le Sénégal et l’Afrique. Nous n’avons pas le droit d’abandonner Abdoulaye Wade.
Idrissa Seck réhabilite ainsi un peu Abdoulaye Wade. Simple calcul politique ou de l’honnêteté qui peut tant soit peu payer en politique. Et c’est ce même Idrissa Seck qui dit avoir pour Wade une affection infinie jusqu’à la tombe qui lui souhaitait une retraite semblable à celle de Nelson Mandela. Même si cela n’est pas possible à cause des actes de défiance posés par le Vieux contre la volonté du Peuple, les morts sur la marche vers les dernières présidentielles, la mauvaise gestion, Wade mérite tout de même respect et considération de la part des Sénégalais. Surtout que celui qui s’est battu durant 26 ans à faire avancer notre démocratie, à faire rêver des générations entières, n’était pas seul dans sa gestion du pouvoir. Des autorités qui ont aujourd’hui la destinée du pays entre leurs mains ont laissé Wade faire. Elles n’ont pas résisté à l’intérieur du système, elles n’ont jamais levé le plus petit doigt ou regardé Wade dans les yeux pour lui demander d’arrêter. Ces gens doivent arrêter d’insulter le parcours historique du pape du Sopi et de s’occuper des soucis des Sénégalais.
C’est aussi pour cela que nous ne pouvons pas accepter que des journalistes, experts dans l’escroquerie journalistique se permettent de parler d’une certaine manière de l’ancien président du Sénégal. Dans un article intitulé : « Sénégal : Les Wade, une famille décomposée », le magazine panafricain, Jeune Afrique, veut nous faire croire qu’Abdoulaye Wade et son épouse sont à la limite malheureux dans leur nouvelle vie. Ces journalistes qui parlent ainsi de cette famille ont hier profité de leur gestion pour bouffer nos millions à travers des publi-reportages pour le bon vouloir du Prince. C’est ingrat de nous faire croire que vous donnez ainsi un sens à l’actualité africaine. Heureusement que le jeu de ces mercenaires de la plume est compris depuis belle lurette en Afrique. L’Afrique qui lit vous comprend, l’Afrique qui écoute et qui regarde est bien servie à l’intérieur pour comprendre. C’est ce que je crois !
Pour les proches d’Abdoulaye Wade, en politique comme dans la famille, nous vous demandons de l’assister pour la transmission de toutes ses idées, ses rêves pour le Sénégal et l’Afrique. Nous n’avons pas le droit d’abandonner Abdoulaye Wade.