Désormais les pantalons « jean » et autres de ce genre sont interdits pour des cérémonies officielles présidées par le chef de l’Etat comme c’était le cas ce mercredi lors de la cérémonie de lancement de l’acte III de la décentralisation au King Fahd Palace. Comme d’habitude, des mesures pas claires, pas d’explications ou des informations pour ne pas mettre les principaux concernés devant le fait accompli. « Cette surprenante mesure, qui jusqu’ici ne s’appliquait qu’au Palais de la République ou à la limite au Building administratif, a surpris une grande partie des journalistes », ont affirmé des confrères.
Les journalistes attendent encore des mesures concrètes pour l’amélioration de leurs conditions de travail, des actes qui vont empêcher la fermeture de leur outil de travail. Apparemment faute de moyens réels pour faire face, des personnes en mal d’inspiration veulent faire la promotion de décisions impopulaires, incompréhensibles, malhonnêtes… Les journalistes ne sont jamais venus en haillons pour couvrir des manifestations pour le respect du droit à l’information du public. Nous sommes venus avec ce que nous avons ! Ce que nous avons acheté avec les miettes que nous gagnons. Nous n’avons pas besoin de votre argent pour acheter des costumes et nous n’avons pas aussi besoin de ce que vous dégagez de vos garde-robes parce qu’aujourd’hui avec des primes et autres avantages vous avez la possibilité de les changer comme vous le voulez. D’ailleurs y a des décisions qui s’expliquent juste par des instincts de satisfaction cela n’a rien à voir avec du réfléchi ou le travail.
A ces messieurs avec leurs nouveaux costards, nous demandons, de réfléchir sur le développement de la presse pour le bien des journalistes et du public. Et y a du boulot car pour le moment tout marche au ralenti dans le secteur avec une politique qui semble se limiter à un prochain code de la presse, une prochaine maison de la presse et une entrée plus grande dans le numérique.
Et quelque part vous avez demandé à des gens de s’habiller comme vous, des gens qui n’ont pas des moyens comme vous, c’est quelque part encourager des pratiques de corruption qui font le lit de la profession, faire la promotion de relations « incestueuses » entre des éléments de la profession et de nouveaux riches ou en tout cas des gens qui peuvent à leur guise changer leur garde-robe.
Mais comme « l’habit ne fait pas le moine » et ne fait pas aussi le bon ou le mauvais journaliste, « le Dieu de la Presse », lui reconnaîtra toujours les siens !
Les journalistes attendent encore des mesures concrètes pour l’amélioration de leurs conditions de travail, des actes qui vont empêcher la fermeture de leur outil de travail. Apparemment faute de moyens réels pour faire face, des personnes en mal d’inspiration veulent faire la promotion de décisions impopulaires, incompréhensibles, malhonnêtes… Les journalistes ne sont jamais venus en haillons pour couvrir des manifestations pour le respect du droit à l’information du public. Nous sommes venus avec ce que nous avons ! Ce que nous avons acheté avec les miettes que nous gagnons. Nous n’avons pas besoin de votre argent pour acheter des costumes et nous n’avons pas aussi besoin de ce que vous dégagez de vos garde-robes parce qu’aujourd’hui avec des primes et autres avantages vous avez la possibilité de les changer comme vous le voulez. D’ailleurs y a des décisions qui s’expliquent juste par des instincts de satisfaction cela n’a rien à voir avec du réfléchi ou le travail.
A ces messieurs avec leurs nouveaux costards, nous demandons, de réfléchir sur le développement de la presse pour le bien des journalistes et du public. Et y a du boulot car pour le moment tout marche au ralenti dans le secteur avec une politique qui semble se limiter à un prochain code de la presse, une prochaine maison de la presse et une entrée plus grande dans le numérique.
Et quelque part vous avez demandé à des gens de s’habiller comme vous, des gens qui n’ont pas des moyens comme vous, c’est quelque part encourager des pratiques de corruption qui font le lit de la profession, faire la promotion de relations « incestueuses » entre des éléments de la profession et de nouveaux riches ou en tout cas des gens qui peuvent à leur guise changer leur garde-robe.
Mais comme « l’habit ne fait pas le moine » et ne fait pas aussi le bon ou le mauvais journaliste, « le Dieu de la Presse », lui reconnaîtra toujours les siens !