Le président de la République l’avait dit en d’autres termes avant son remaniement, son Premier ministre a placé les bons mots : efficacité et efficience, voilà ce qui explique ces premiers changements dans l’attelage gouvernemental. Seulement si cela se limite à des permutations de personnes plus outillées, à des recentrages selon la compétence comme indiquer par El hadji Hamidou Kassé, à des amputations pour plus d’équilibre, l’objectif recherché par le président et son Premier ministre ne sera pas atteint. La presse et des observateurs avertis comme M. Mody Niang avaient soulevé des nominations de personnes à la tête de Directions et d’Agences qui n’avaient rien à voir avec leur compétence, leur parcours professionnel, certains n’en avaient même pas. Là il appartient aux ministres responsables des départements concernés de faire le nettoyage nécessaire, le président a montré la voie.
Voilà d’autres chantiers pour faire dans la rupture et prendre la voie « du véritable développement ». Nous le savons tous, les ministères, agences et autres institutions sont de véritables lieux de « recasement » de militants payés à ne rien faire. Une décision prise dans le sens de mettre fin à de telles pratiques, conjuguée avec les audits annoncés du personnel de la fonction publique, mettra le Sénégal sur les rails du développement toujours théorisé jamais senti par la population sénégalaise. Il s’agira aussi d’appliquer la même rigueur dans les secteurs privé et informel. Comme par exemple arrêter d’accorder des faveurs à des messieurs qui n’ont que de beaux costards et des entreprises dans leur sac à main, harmoniser l’intervention des ONG, arrêter ces messieurs et dames qui se nourrissent des mauvaises conditions de vie et d’existence des populations à travers des mouvements et des associations qui n’existent que de nom. La rigueur partout et à tout moment !
On peut l’espérer d’un président qui n’hésite pas à laisser sur le chemin des compagnons de galère politique et qui fait confiance à des technocrates pour atteindre ses objectifs. Soulignons tout de même que l’urgence dictée par les préoccupations des sénégalais, les empêche aussi de voir toutes ces bonnes intentions, ces stratégies et méthodes. Il faut encore plus de rythme. Le Premier ministre et son équipe doivent être dans le tempo de ce parti de la demande sociale, le plus grand parti au Sénégal.
Voilà d’autres chantiers pour faire dans la rupture et prendre la voie « du véritable développement ». Nous le savons tous, les ministères, agences et autres institutions sont de véritables lieux de « recasement » de militants payés à ne rien faire. Une décision prise dans le sens de mettre fin à de telles pratiques, conjuguée avec les audits annoncés du personnel de la fonction publique, mettra le Sénégal sur les rails du développement toujours théorisé jamais senti par la population sénégalaise. Il s’agira aussi d’appliquer la même rigueur dans les secteurs privé et informel. Comme par exemple arrêter d’accorder des faveurs à des messieurs qui n’ont que de beaux costards et des entreprises dans leur sac à main, harmoniser l’intervention des ONG, arrêter ces messieurs et dames qui se nourrissent des mauvaises conditions de vie et d’existence des populations à travers des mouvements et des associations qui n’existent que de nom. La rigueur partout et à tout moment !
On peut l’espérer d’un président qui n’hésite pas à laisser sur le chemin des compagnons de galère politique et qui fait confiance à des technocrates pour atteindre ses objectifs. Soulignons tout de même que l’urgence dictée par les préoccupations des sénégalais, les empêche aussi de voir toutes ces bonnes intentions, ces stratégies et méthodes. Il faut encore plus de rythme. Le Premier ministre et son équipe doivent être dans le tempo de ce parti de la demande sociale, le plus grand parti au Sénégal.
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