La CEDEAO a lancé, ce lundi à Dakar, une caravane régionale de sensibilisation destinée aux femmes commerçantes le long du corridor Dakar - Banjul - Bissau. L'objectif de cette initiative est de sensibiliser les femmes commerçantes opérant aux frontières. Fatou Sow, Commissaire au développement humain et aux affaires sociales de la CEDEAO, a souligné qu'il s'agit d'un espace favorisant les échanges entre dix étapes de la sous-région, générant un chiffre d'affaires quotidien de "3 à 4 milliards".
« C’est la deuxième édition du Centre pour le Développement du Genre de la CEDEAO basé à Dakar entreprend. Cette édition nous permettra d’aller le long du corridor transfrontalier avec les pays voisins. Au nord comme la Mauritanie en passant par Saint-Louis, Dagana, Richard Toll, Ross Béthio et autres. À partir du centre à Kaolack aussi, Fatick. Mais surtout à Diaoubé », a déclaré Fatou Sow, Commissaire au Développement Humain et aux Affaires Sociales de la CEDEAO.
« Nous aurons un espace qui permet à 10 étapes de la sous-région de se rencontrer avec un chiffre d’affaires de 3 à 4 milliards par jour. La caravane aura aussi à aller vers la Gambie, aller vers la Guinée-Bissau. Tambacounda aussi est une zone importante vu le secteur minier qu’on retrouve dans cet espace », a-t-elle fait savoir.
« 90 % de notre secteur économique est essentiellement envahie par les femmes »
Pour Mme Sow : « Cette caravane nous permet de mettre les femmes au cœur de la question du commerce transfrontalier. Parce que ce sont les principales actrices dans ce domaine, mais qui sont confrontés à d’énormes problèmes de sécurité, des problèmes d’accès à l’information, des problèmes de conditions et de bien-être aussi. C’est la raison pour laquelle il a été demandé ici d’installer des corridors le long de ces circuits ».
« Ce n’est pas simplement une question humaine, mais aussi une question économique. Parce que c’est un générateur de revenu. C’est des moyens d’avoir des ressources. Mais surtout, pour la CEDEAO, ça nous permet par rapport à une de nos aspirations, la CEDEAO du peuple, de travailler avec les femmes qui sont à la base », a-t-elle ajouté.
Selon Fatou Sow, « l’informel, qui est 90 % de notre secteur économique et qui est l’économie réelle, est essentiellement envahie par les femmes. Nous avons besoin de les renforcer en connaissances, en compétences, en moyens et en accès aux ressources financières ».
« Donc ça va être l’occasion d’identifier toutes les questions relatives à ce secteur-là. Et l’année prochaine sera les 50 ans de la CEDEAO. Cela permettra au Centre Genre de revenir avec les éléments qui nous permettrons et de poser les bases d’une rupture pour nous projeter vers le futur », a expliqué la Commissaire au Développement Humain et aux Affaires Sociales de la CEDEAO.
« C’est la deuxième édition du Centre pour le Développement du Genre de la CEDEAO basé à Dakar entreprend. Cette édition nous permettra d’aller le long du corridor transfrontalier avec les pays voisins. Au nord comme la Mauritanie en passant par Saint-Louis, Dagana, Richard Toll, Ross Béthio et autres. À partir du centre à Kaolack aussi, Fatick. Mais surtout à Diaoubé », a déclaré Fatou Sow, Commissaire au Développement Humain et aux Affaires Sociales de la CEDEAO.
« Nous aurons un espace qui permet à 10 étapes de la sous-région de se rencontrer avec un chiffre d’affaires de 3 à 4 milliards par jour. La caravane aura aussi à aller vers la Gambie, aller vers la Guinée-Bissau. Tambacounda aussi est une zone importante vu le secteur minier qu’on retrouve dans cet espace », a-t-elle fait savoir.
« 90 % de notre secteur économique est essentiellement envahie par les femmes »
Pour Mme Sow : « Cette caravane nous permet de mettre les femmes au cœur de la question du commerce transfrontalier. Parce que ce sont les principales actrices dans ce domaine, mais qui sont confrontés à d’énormes problèmes de sécurité, des problèmes d’accès à l’information, des problèmes de conditions et de bien-être aussi. C’est la raison pour laquelle il a été demandé ici d’installer des corridors le long de ces circuits ».
« Ce n’est pas simplement une question humaine, mais aussi une question économique. Parce que c’est un générateur de revenu. C’est des moyens d’avoir des ressources. Mais surtout, pour la CEDEAO, ça nous permet par rapport à une de nos aspirations, la CEDEAO du peuple, de travailler avec les femmes qui sont à la base », a-t-elle ajouté.
Selon Fatou Sow, « l’informel, qui est 90 % de notre secteur économique et qui est l’économie réelle, est essentiellement envahie par les femmes. Nous avons besoin de les renforcer en connaissances, en compétences, en moyens et en accès aux ressources financières ».
« Donc ça va être l’occasion d’identifier toutes les questions relatives à ce secteur-là. Et l’année prochaine sera les 50 ans de la CEDEAO. Cela permettra au Centre Genre de revenir avec les éléments qui nous permettrons et de poser les bases d’une rupture pour nous projeter vers le futur », a expliqué la Commissaire au Développement Humain et aux Affaires Sociales de la CEDEAO.
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