Cette décision pourrait avoir un impact sur les résultats provisoires de l'élection.
L'écart entre le vainqueur le colonel Azali Assoumani, ancien président et le candidat du pouvoir, Mohamed Ali Soilihi, n'était que d'environ 2000 voix.
Le 10 avril, des irrégularités et des violences ont empêché dans 13 localités, plus de 6.000 électeurs de voter.
La Cour constitutionnelle donne ainsi partiellement raison à Mohamed Ali Soilihi, qui l'avait saisie pour demander la reprise du scrutin dans 15 localités où le vote avait été perturbé.
Source: Rfi.fr