La défense : Est-ce que vous saviez que Moussa Mbaye était partie en Libye ?
Matar Diokhané : Je n’étais même pas au courant. J’avais seulement donné ma pensée et je les interdis de tromper les gens.
La défense : Pourquoi lors de votre retour du Nigéria, vous avez cherché à voir Imam Ndao ?
L’accusé : Je n’avais pas beaucoup de temps. Et j’avais promis aux Sénégalais que j’allais les mettre en rapport avec un aîné pour qu’il puisse les élucider pour qu’ils ne puissent pas être trompés à l’avenir.
La défense : Vous avez recommandé aux Sénégalais à Imam Ndao, par sa connaissance et autres ?
L’accusé : Il m’avait convaincu par ses prêches et par sa sérénité.
La défense : Est-ce qu’il était au courant de la venue des sénégalais à Abadan ?
L’accusé : Je n’avais jamais su leur arrivée au Nigéria plus précisément à Abadan. Ils m’ont retrouvé là-bas.
La défense : Qu’est-ce que tu faisais au Nigéria ?
L’accusé : L’enseignement, comme je le faisais au Sénégal.
La défense : Aviez-vous une certaine autorité sur les Sénégalais qui étaient là-bas ?
L’accusé : Je n’avais aucun droit sur eux. Seulement un jour où ils m’ont appelé pour que je puisse leurs venir en aide.
La défense : Au moment d’aller parler avec Sheikau, est ce qu’il y avait des Sénégalais en ta compagnie ?
L’accusé : Je me suis rendu voir Sheikau tout seule. Mais avant de partir je suis venu les voir afin de me renseigner sur leur état.
La défense : On vous a pris en photo avec un tenu de combat ?
L’accusé : Non.
La défense : Quelqu’un vous a vu dans les zones de combat ?
L’accusé : Non.
La défense : Est-ce que vous savez de quoi vous êtes poursuivi ?
L’accusé : Non.
La défense : Est-ce que le juge d’instruction ou les enquêteurs vous ont présenté des faits réels pour dire vous avez participé à quoi que ce soit lié avec Boko-Haram.
L’accusé : Non. Ils ne m’ont rien présenté.
La défense : Est-ce qu’on vous a apporté des preuves pour vous dire que vous avez fait ceci ou cela ?
L’accusé : Non.
Matar Diokhané : Je n’étais même pas au courant. J’avais seulement donné ma pensée et je les interdis de tromper les gens.
La défense : Pourquoi lors de votre retour du Nigéria, vous avez cherché à voir Imam Ndao ?
L’accusé : Je n’avais pas beaucoup de temps. Et j’avais promis aux Sénégalais que j’allais les mettre en rapport avec un aîné pour qu’il puisse les élucider pour qu’ils ne puissent pas être trompés à l’avenir.
La défense : Vous avez recommandé aux Sénégalais à Imam Ndao, par sa connaissance et autres ?
L’accusé : Il m’avait convaincu par ses prêches et par sa sérénité.
La défense : Est-ce qu’il était au courant de la venue des sénégalais à Abadan ?
L’accusé : Je n’avais jamais su leur arrivée au Nigéria plus précisément à Abadan. Ils m’ont retrouvé là-bas.
La défense : Qu’est-ce que tu faisais au Nigéria ?
L’accusé : L’enseignement, comme je le faisais au Sénégal.
La défense : Aviez-vous une certaine autorité sur les Sénégalais qui étaient là-bas ?
L’accusé : Je n’avais aucun droit sur eux. Seulement un jour où ils m’ont appelé pour que je puisse leurs venir en aide.
La défense : Au moment d’aller parler avec Sheikau, est ce qu’il y avait des Sénégalais en ta compagnie ?
L’accusé : Je me suis rendu voir Sheikau tout seule. Mais avant de partir je suis venu les voir afin de me renseigner sur leur état.
La défense : On vous a pris en photo avec un tenu de combat ?
L’accusé : Non.
La défense : Quelqu’un vous a vu dans les zones de combat ?
L’accusé : Non.
La défense : Est-ce que vous savez de quoi vous êtes poursuivi ?
L’accusé : Non.
La défense : Est-ce que le juge d’instruction ou les enquêteurs vous ont présenté des faits réels pour dire vous avez participé à quoi que ce soit lié avec Boko-Haram.
L’accusé : Non. Ils ne m’ont rien présenté.
La défense : Est-ce qu’on vous a apporté des preuves pour vous dire que vous avez fait ceci ou cela ?
L’accusé : Non.
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