Le maire de Ziguinchor Abdoulaye Baldé s’est prononcé sur la condamnation de Karim Wade par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Au cours du meeting organisé par la par l’Union des centres du Sénégal (Ucs) samedi, à Koubalang, l’élide de Ziguinchor a souligné que le dénouement de cette affaire montre que « justice n’a pas été rendue». « Moi-même, je suis sous le coup d’une procédure de contrôle judiciaire.
Mais ce que je peu dire, c’est que personne ne peut se réjouir de ce qui est arrivé à Karim Wade. C’est avec beaucoup de peine que j’ai appris ce qui lui est arrivé », martèle le premier magistrat de la ville de Ziguinchor. Il s’insurge par ailleurs, contre les arrestations tous azimuts de certains responsables du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Abdoulaye Baldé a souligné que « la justice doit être une justice libre, équitable, dans l’intérêt du peuple sénégalais et non une justice au service d’un parti politique ».
Le président de l’Ucs invite les gouvernants « à prendre de la hauteur pour que la sérénité et le calme qui ont toujours prévalu dans notre pays puissent être préservés » dans l’intérêt supérieur de la Nation. « Nous sommes un pays assez sensible dans ses composantes. Il ne faudrait donc pas faire bouger les lignes ; cela pourrait être dangereux pour tout le monde… », soutient-il pour regretter.
Mais ce que je peu dire, c’est que personne ne peut se réjouir de ce qui est arrivé à Karim Wade. C’est avec beaucoup de peine que j’ai appris ce qui lui est arrivé », martèle le premier magistrat de la ville de Ziguinchor. Il s’insurge par ailleurs, contre les arrestations tous azimuts de certains responsables du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Abdoulaye Baldé a souligné que « la justice doit être une justice libre, équitable, dans l’intérêt du peuple sénégalais et non une justice au service d’un parti politique ».
Le président de l’Ucs invite les gouvernants « à prendre de la hauteur pour que la sérénité et le calme qui ont toujours prévalu dans notre pays puissent être préservés » dans l’intérêt supérieur de la Nation. « Nous sommes un pays assez sensible dans ses composantes. Il ne faudrait donc pas faire bouger les lignes ; cela pourrait être dangereux pour tout le monde… », soutient-il pour regretter.