Condamné à dix (10) ans de prison ferme en première instance, pour avoir violé son élève, l’enseignant insatisfait de la sentence rendue par le tribunal, a interjeté appel. Mais, Abdou Diamé risque de regretter son acte d’autant plus que les choses ne jouent pas en sa faveur.
Le maître des poursuites a demandé la confirmation de la première peine. Devant les juges d’appel, l’enseignant a essayé de se dédouaner. Il n’a pas nié l’existence du rapport sexuel entretenu avec la fillette. Il a essayé de faire croire aux juges que cette dernière, quoi qu’elle soit mineure, était consentante.
« Je n’ai jamais exercé une quelconque violence sur mon élève ou forcé à coucher avec moi, elle était consentante au moment des faits », a déclaré l’inculpé, qui ignore qu’en droit Sénégalais, le mineur n’a pas le droit de consentir car étant incapable.
L’avocat de la défense a plaidé coupable en soutenant que son client n’a jamais nié les faits qui lui son reprochés. Cependant, il a toujours soutenu que la fille était consentante. Il a demandé une application bienveillante de la loi. L’affaire est mise en délibéré au 27 novembre prochain.
Le maître des poursuites a demandé la confirmation de la première peine. Devant les juges d’appel, l’enseignant a essayé de se dédouaner. Il n’a pas nié l’existence du rapport sexuel entretenu avec la fillette. Il a essayé de faire croire aux juges que cette dernière, quoi qu’elle soit mineure, était consentante.
« Je n’ai jamais exercé une quelconque violence sur mon élève ou forcé à coucher avec moi, elle était consentante au moment des faits », a déclaré l’inculpé, qui ignore qu’en droit Sénégalais, le mineur n’a pas le droit de consentir car étant incapable.
L’avocat de la défense a plaidé coupable en soutenant que son client n’a jamais nié les faits qui lui son reprochés. Cependant, il a toujours soutenu que la fille était consentante. Il a demandé une application bienveillante de la loi. L’affaire est mise en délibéré au 27 novembre prochain.