Le président sénégalais Abdoulaye Wade, premier chef d'Etat à s'être rendu à Benghazi, fief de la rébellion libyenne avant la chute du dirigeant Mouammar Kadhafi, participera à la conférence sur la Libye à Paris, a-t-on appris mardi de source officielle.
M. Wade doit quitter Dakar mercredi, a indiqué à l'AFP cette source officielle. La "conférence des amis de la Libye", prévue jeudi, se tient à l'initiative de la France et sera co-présidée par le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy et le Premier ministre britannique David Cameron, alliés de la première heure des insurgés libyens.
Abdoulaye Wade s'était rendu le 9 juin à Benghazi (est de la Libye), où était basé le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne qu'il a reconnu depuis fin mai "comme représentant légitime du peuple libyen".
S'adressant directement à Mouammar Kadhafi depuis Benghazi, M. Wade lui avait demandé de quitter le pouvoir "dans l'intérêt du peuple libyen". "Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra", avait-il notamment dit.
Au lendemain de l'entrée à Tripoli des insurgés libyens, la présidence sénégalaise avait appelé la communauté internationale à appuyer la Libye et le CNT, "pour l'aider à organiser une bonne transition".
M. Wade doit quitter Dakar mercredi, a indiqué à l'AFP cette source officielle. La "conférence des amis de la Libye", prévue jeudi, se tient à l'initiative de la France et sera co-présidée par le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy et le Premier ministre britannique David Cameron, alliés de la première heure des insurgés libyens.
Abdoulaye Wade s'était rendu le 9 juin à Benghazi (est de la Libye), où était basé le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne qu'il a reconnu depuis fin mai "comme représentant légitime du peuple libyen".
S'adressant directement à Mouammar Kadhafi depuis Benghazi, M. Wade lui avait demandé de quitter le pouvoir "dans l'intérêt du peuple libyen". "Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra", avait-il notamment dit.
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