Selon une source judiciaire proche de ce dossier, ce mardi, 14 élèves majeurs vont comparaitre devant la Cour correctionnelle du tribunal de Brazzaville pour répondre aux accusations « de dégradation d’objet destiné à l’utilité ou à la décoration publique », tandis que deux élèves de 15 et 16 ans seront entendus, eux, au tribunal pour mineurs, le lendemain, pour « association des malfaiteurs », pendant que plusieurs centaines d’élèves scolarisés ici dans cet établissement vont reprendre le chemin des cours.
Contrôle
Christian Grégoire Epouma, président de l’Association des parents d’élèves et étudiants du Congo (Apeec), explique : « Chaque enfant qui arrivera au lycée Cinq- Février devra présenter son badge, pour montrer qu’il a été contrôlé : c’est-à-dire, recensé, qu’il a signé sa fiche de recensement en compagnie de son père ou de sa mère. Ceux qui n’auront pas de badge, cela signifie qu’ils n’ont pas été recensés et n’auront pas accès au lycée du Cinq-Février. »
Ce contrôle suivi de recensement a été initié à la suite de l’incivisme du 5 février dernier où les élèves ont remplacé le drapeau national vert-jaune-rouge du Congo par une étoffe bleue nuit comme leurs uniformes.
« La justice fera son cours »
Pour Christian Grégoire Epouma, le procès qui s’ouvre ce jour vise à servir d’exemple : « Les coupables seront connus et les non-coupables, ou ceux qui sont partis par effet de foule, seront innocentés et la justice fera son cours ». Ce procès est le premier du genre dans la lutte contre l’incivisme en milieu scolaire.
Contrôle
Christian Grégoire Epouma, président de l’Association des parents d’élèves et étudiants du Congo (Apeec), explique : « Chaque enfant qui arrivera au lycée Cinq- Février devra présenter son badge, pour montrer qu’il a été contrôlé : c’est-à-dire, recensé, qu’il a signé sa fiche de recensement en compagnie de son père ou de sa mère. Ceux qui n’auront pas de badge, cela signifie qu’ils n’ont pas été recensés et n’auront pas accès au lycée du Cinq-Février. »
Ce contrôle suivi de recensement a été initié à la suite de l’incivisme du 5 février dernier où les élèves ont remplacé le drapeau national vert-jaune-rouge du Congo par une étoffe bleue nuit comme leurs uniformes.
« La justice fera son cours »
Pour Christian Grégoire Epouma, le procès qui s’ouvre ce jour vise à servir d’exemple : « Les coupables seront connus et les non-coupables, ou ceux qui sont partis par effet de foule, seront innocentés et la justice fera son cours ». Ce procès est le premier du genre dans la lutte contre l’incivisme en milieu scolaire.
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