C’est près de la centrale électrique du Congo, la plus grande unité de fourniture d’énergie du pays alimentée par le gaz, que ce centre sera construit, grâce à un investissement de 5 milliards de dollars de la compagnie pétrolière italienne ENI.
« C’est un grand projet intégré que nous lançons, a déclaré Bruno Jean-Richard Itoua, le ministre des Hydrocarbures. Il concerne la production du gaz, sa transformation et sa liquéfaction, puis sa commercialisation. Il va permettre à notre pays, pour la première fois, d'exporter du gaz naturel liquéfié. On l’a jamais fait, le gaz nous a servi juste pour produire de l’électricité ».
Ce centre va produire, à partir de 2025, 3 millions de tonnes de gaz par an, dont une grande partie sera destinée aux industries locales, aux ménages, mais aussi à l’exportation donc, selon le gouvernement.
Selon le directeur général d’ENI Congo, Mirko Araldi, ce projet bénéficiera des technologies les plus avancées pour que le gaz soit brûlé intentionnellement et valorise l'énergie.« Il (le projet) permettra également d’atteindre l’objectif de zéro torchage. Il n’y aura plus de torchage de routine dans nos usines conformément à la stratégie de décarbonation de la République du Congo et d’Eni ».
Selon les opérateurs d’hydrocarbures, le Congo-Brazzaville, troisième producteur de l’or noir en Afrique au sud du Sahara, a des réserves de 100 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
« C’est un grand projet intégré que nous lançons, a déclaré Bruno Jean-Richard Itoua, le ministre des Hydrocarbures. Il concerne la production du gaz, sa transformation et sa liquéfaction, puis sa commercialisation. Il va permettre à notre pays, pour la première fois, d'exporter du gaz naturel liquéfié. On l’a jamais fait, le gaz nous a servi juste pour produire de l’électricité ».
Ce centre va produire, à partir de 2025, 3 millions de tonnes de gaz par an, dont une grande partie sera destinée aux industries locales, aux ménages, mais aussi à l’exportation donc, selon le gouvernement.
Selon le directeur général d’ENI Congo, Mirko Araldi, ce projet bénéficiera des technologies les plus avancées pour que le gaz soit brûlé intentionnellement et valorise l'énergie.« Il (le projet) permettra également d’atteindre l’objectif de zéro torchage. Il n’y aura plus de torchage de routine dans nos usines conformément à la stratégie de décarbonation de la République du Congo et d’Eni ».
Selon les opérateurs d’hydrocarbures, le Congo-Brazzaville, troisième producteur de l’or noir en Afrique au sud du Sahara, a des réserves de 100 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
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