Parmi les personnes interpellées, on trouve encore une fois un proche du candidat Jean-Marie Michel Mokoko. Il s'agit de son directeur de campagne dans la ville d’Ouesso, Dieudonné Dird.
Selon ses proches, l'homme aurait été interpellé après avoir protesté, dans la rue, avec son mégaphone, contre des propos tenus lors d'une manifestation de femmes du parti au pouvoir qui s'en prenait à son candidat. Il se trouvait lundi soir encore au commissariat.
A Brazzaville, c'est le porte-parole du candidat André Okombi Salissa qui a été interpellé à la sortie d'une réunion politique. On ne sait pas encore ce qui est reproché à René Serge Blanchard Oba.
Le porte-parole du gouvernement n'était pas en mesure de confirmer ces interpellations lundi. Mais il reconnait que les deux proches du général Mokoko, Anatole Limbogo-Ngoka et Jean Ngouabi arrêtés ces derniers jours, sont toujours en détention. « Manifestement, des faits suffisamment sérieux leurs sont reprochés », assure le ministre, qui ajoute qu’« il faut distinguer ce qui relève du processus électoral de ce qui relève de faits attentatoires à la sureté de l’Etat ».
Plusieurs opposants se disent, eux, toujours inquiets pour leur sécurité. « On ne dort plus chez nous », confiait l'un d'eux lundi soir.
Source:Rfi.fr
Selon ses proches, l'homme aurait été interpellé après avoir protesté, dans la rue, avec son mégaphone, contre des propos tenus lors d'une manifestation de femmes du parti au pouvoir qui s'en prenait à son candidat. Il se trouvait lundi soir encore au commissariat.
A Brazzaville, c'est le porte-parole du candidat André Okombi Salissa qui a été interpellé à la sortie d'une réunion politique. On ne sait pas encore ce qui est reproché à René Serge Blanchard Oba.
Le porte-parole du gouvernement n'était pas en mesure de confirmer ces interpellations lundi. Mais il reconnait que les deux proches du général Mokoko, Anatole Limbogo-Ngoka et Jean Ngouabi arrêtés ces derniers jours, sont toujours en détention. « Manifestement, des faits suffisamment sérieux leurs sont reprochés », assure le ministre, qui ajoute qu’« il faut distinguer ce qui relève du processus électoral de ce qui relève de faits attentatoires à la sureté de l’Etat ».
Plusieurs opposants se disent, eux, toujours inquiets pour leur sécurité. « On ne dort plus chez nous », confiait l'un d'eux lundi soir.
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