Selon les estimations de l’ONU, au moins 13 000 personnes ont connu l’exode dans le Pool depuis que des troubles ont repris dans cette région en avril dernier. La police se dit toujours déterminée à traquer le pasteur Ntumi. Le chef de l’Etat, Denis Sassou-Nguesso, a appelé les populations, les responsables politiques du Pool et même les sages à coopérer afin de contribuer à l’arrestation de l’ancien chef rebelle. Le Premier ministre Clément Mouamba a reçu récemment des opposants pour évoquer la situation du Pool.
Malgré les déclarations et autres actions, l’Observatoire congolais des droits de l’homme, par la voie de son directeur exécutif Trésor Nzila, estime qu’il n’existe pas une réelle volonté politique de mettre un terme à la crise du Pool : « Il y a une confusion dans la situation du Pool, de telle manière qu’on ne sait pas ce qui se passe exactement. Aucune perspective de sortie de crise, on est dans une sorte de confusion totale, une communication défectueuse. On ne sait pas qui dit la vérité, il n’y a aucune cohérence ».
« Au Congo, des ONG, qui cherchent plutôt à satisfaire les intérêts des lobbys étrangers, veulent détourner notre attention », a rétorqué une source gouvernementale.
Malgré les déclarations et autres actions, l’Observatoire congolais des droits de l’homme, par la voie de son directeur exécutif Trésor Nzila, estime qu’il n’existe pas une réelle volonté politique de mettre un terme à la crise du Pool : « Il y a une confusion dans la situation du Pool, de telle manière qu’on ne sait pas ce qui se passe exactement. Aucune perspective de sortie de crise, on est dans une sorte de confusion totale, une communication défectueuse. On ne sait pas qui dit la vérité, il n’y a aucune cohérence ».
« Au Congo, des ONG, qui cherchent plutôt à satisfaire les intérêts des lobbys étrangers, veulent détourner notre attention », a rétorqué une source gouvernementale.