Le Comité de politique monétaire (Cpm) qui s’est réuni mercredi dernier a « relevé une accélération des prix à la consommation, le taux d’inflation ressortant à 3,3% au deuxième trimestre 2021 contre 2,2% un trimestre plus tôt ». Cet accroissement du rythme de progression des prix, selon cette instance de la Bceao chargée de la définition de la politique monétaire au sein de l’Umoa, « est imputable au renchérissement des produits alimentaires du fait de la baisse de la production céréalière dans certains pays et des difficultés d’approvisionnement des marchés induites par les crises sanitaire et sécuritaire dans d’autres pays », rapporte Le Quotidien.
Cependant, le Comité de politique monétaire a prédit qu'« à l’horizon de vingt-quatre mois, le taux d’inflation se situerait à 2,2%, soit une baisse des prix des produits alimentaires locaux ». En perspective, notent les fonctionnaires de la Bceao, «la croissance économique retrouverait sa tendance d’avant le choc sanitaire en se situant à 5,4% en 2021, puis à 6,4% en 2022, à la faveur de la consolidation de la reprise de l’activité économique dans l’Union consécutive à la bonne exécution des plans de relance et au maintien des mesures de soutien budgétaire et monétaire ».
Pour les directeurs de la Bceao, les taux restent inchangés sur le marché monétaire. « Les conditions financières sont restées favorables, en ligne avec l’orientation accommodante de la politique monétaire de la Banque centrale », ont-ils renseigné. Sur la base de ces analyses, le Cpm « a décidé de maintenir inchangés le taux d’intérêt minimum de soumission aux opérations d’appels d’offres d’injection de liquidités à 2% et le taux d’intérêt du guichet de prêt marginal à 4%, niveaux en vigueur depuis le 24 juin 2020. Le coefficient de réserves obligatoires applicable aux banques de l’Union demeure inchangé à 3% ».
Selon « Le Quotidien », dans les mois à venir, la Bceao promet de continuer «à mettre en œuvre une politique monétaire assurant la stabilité des prix, tout en soutenant le retour à une croissance forte».
Cependant, le Comité de politique monétaire a prédit qu'« à l’horizon de vingt-quatre mois, le taux d’inflation se situerait à 2,2%, soit une baisse des prix des produits alimentaires locaux ». En perspective, notent les fonctionnaires de la Bceao, «la croissance économique retrouverait sa tendance d’avant le choc sanitaire en se situant à 5,4% en 2021, puis à 6,4% en 2022, à la faveur de la consolidation de la reprise de l’activité économique dans l’Union consécutive à la bonne exécution des plans de relance et au maintien des mesures de soutien budgétaire et monétaire ».
Pour les directeurs de la Bceao, les taux restent inchangés sur le marché monétaire. « Les conditions financières sont restées favorables, en ligne avec l’orientation accommodante de la politique monétaire de la Banque centrale », ont-ils renseigné. Sur la base de ces analyses, le Cpm « a décidé de maintenir inchangés le taux d’intérêt minimum de soumission aux opérations d’appels d’offres d’injection de liquidités à 2% et le taux d’intérêt du guichet de prêt marginal à 4%, niveaux en vigueur depuis le 24 juin 2020. Le coefficient de réserves obligatoires applicable aux banques de l’Union demeure inchangé à 3% ».
Selon « Le Quotidien », dans les mois à venir, la Bceao promet de continuer «à mettre en œuvre une politique monétaire assurant la stabilité des prix, tout en soutenant le retour à une croissance forte».