A l’issue des vérifications des listes de parrainage effectuées, tous les candidats recalés pour motifs de doublons par le Conseil constitutionnel doivent, dans les 48 heures, à partir du mercredi 2 janvier 2019, déposer de nouveaux dossiers auprès de ladite institution.
C’est fait pour Madické Niang. Le leader de la coalition Madické 2019 a régularisé les 6000 signatures qui lui restait suite au rejet de doublons constatés par le Conseil constitutionnel. Et c’est son mandataire Ibra Diouf Niokhobaye qui donne l’information. « Le greffier nous avait expliqués puisqu’il restait des mandataires qui n’avaient pas encore reçu leur PV il fallait attendre jusqu’à demain (ce jeudi 3 janvier), et ce matin nous étions au Rendez vous pour déposer et on nous a remis donc au non de la coalition Madické 2019, notre récépissé de dépôt pour la régularisation des différents motifs que nous a signifié le Conseil Constitutionnel. »
Quant à Idrissa Seck, il lui manquait également au moins une vingtaine de signatures à compléter dans le sud. Moustapaha Badji, le coordonnateur départemental du parti de Rewmi à Bignona s’est acquitté du travail et en donne l’assurance. « La situation a été rapidement était régularisée, le mandataire du parti a, à sa possession le nombre de signatures requis et se trouve actuellement au Conseil constitutionnel. »
C’est fait pour Madické Niang. Le leader de la coalition Madické 2019 a régularisé les 6000 signatures qui lui restait suite au rejet de doublons constatés par le Conseil constitutionnel. Et c’est son mandataire Ibra Diouf Niokhobaye qui donne l’information. « Le greffier nous avait expliqués puisqu’il restait des mandataires qui n’avaient pas encore reçu leur PV il fallait attendre jusqu’à demain (ce jeudi 3 janvier), et ce matin nous étions au Rendez vous pour déposer et on nous a remis donc au non de la coalition Madické 2019, notre récépissé de dépôt pour la régularisation des différents motifs que nous a signifié le Conseil Constitutionnel. »
Quant à Idrissa Seck, il lui manquait également au moins une vingtaine de signatures à compléter dans le sud. Moustapaha Badji, le coordonnateur départemental du parti de Rewmi à Bignona s’est acquitté du travail et en donne l’assurance. « La situation a été rapidement était régularisée, le mandataire du parti a, à sa possession le nombre de signatures requis et se trouve actuellement au Conseil constitutionnel. »