La Coordination des associations de Presse ont tenu ce vendredi le Conseil des médias pour dire non au retrait définitif de la licence de Walftv. Une rencontre qui a vu la participation des professionnels de l'information et d'organisations de la société civile. Une seule voix pour dire au monde que le "monstre est toujours là" !
Ibrahima Lissa Faye qui s'est exprimé au non de la Cap d'annoncer une marche nationale si la licence n'est pas restaurée. Mieux, là Coordination réclame "la démission du ministre de la Communication Moussa Bocar Thiam"
Seynabou Mbodji, la première journaliste femme de Walffadjiri pour dire non au "ballonnement de la presse". Pour elle, si "cette mobilisation de la presse continue le monstre va s'arrêter", a t-elle fait savoir à ses confrères.
Oumy Ndour soutient de son côté que c'est un devoir de participer "à la préservation de notre patrimoine qu'est le groupe Walffadjir."
Le journaliste Pape Alé Niang de s'attaquer au régime de Macky Sall qui ne cesse de restreindre les libertés depuis son accession au pouvoir. Pour sa gourverne nous sommes tout simplement "face à un Banditisme d'Etat." Alors pour lui : il est temps qu'on se dise la vérité " un ministre ne peut se lever un bon jour retirer la licence définitivement d'une télé sans l'appui de son supérieur. Ce combat n'est pas celui de Walffadjir. Mais de tous. Ponit de compris avec les autorités."
De l'avis du journaliste Momar Diongue "On est en face à des gouvernants qui ne se fixent aucune limite. On s'est rendu compte que l'interdiction de manifestation publique est une banalité. En ce qui concerne notre profession on se rend compte que notre ministre sa spécialité c'est de couper de signal, Internet mobile. Et maintenant il est passé à une vitesse supérieure c'est de retirer la licence de Walffadjir. Alors personne n'acceptera qu'on enterre l'héritage de Sidy Lamine Naiss."
Le député Pape Djibril de profession journaliste rappelle au régime de Macky Sall que " La vitalité de l'information" et aux journalistes qu'ils sont de "grands messieurs dames qui ne doivent pas accepter d'être Infatillés. Acelui qui a pris cette décision inique, son patron est le précurseur des médias non etiques."
Seydi Gassama qui s'est exprimé au nom des organisations des droits humains : "Le retrait n'est que le dernier acte le plus grave parmi les agressions de Macky. Y a plus grandes dérives, arrêter un journaliste au sortir de l'émission. C'est Macky qui est à l'origine de ce retrait. C'est honteux de ne peut voir aujourd'hui quelqu'un comme Madiambal Ndiaye, Yoro Dia ou un autre comme El Hadji kassé sur le terrain. Moussa Bocar n'est que le bras armé de Macky"
Reporters sans Frontières, représenté par Jeanne Lagarde rafraîchit la mémoire des autorités. "Les textes de lois garantissent la libérte de la presse. Et pourtant en moins de deux ans une quinzaine de journalistes sont arrêtés. En trois ans Walffadjir a fait l'objet de 3 restrictions. C'est un ciblage abusif".
Ibrahima Lissa Faye qui s'est exprimé au non de la Cap d'annoncer une marche nationale si la licence n'est pas restaurée. Mieux, là Coordination réclame "la démission du ministre de la Communication Moussa Bocar Thiam"
Seynabou Mbodji, la première journaliste femme de Walffadjiri pour dire non au "ballonnement de la presse". Pour elle, si "cette mobilisation de la presse continue le monstre va s'arrêter", a t-elle fait savoir à ses confrères.
Oumy Ndour soutient de son côté que c'est un devoir de participer "à la préservation de notre patrimoine qu'est le groupe Walffadjir."
Le journaliste Pape Alé Niang de s'attaquer au régime de Macky Sall qui ne cesse de restreindre les libertés depuis son accession au pouvoir. Pour sa gourverne nous sommes tout simplement "face à un Banditisme d'Etat." Alors pour lui : il est temps qu'on se dise la vérité " un ministre ne peut se lever un bon jour retirer la licence définitivement d'une télé sans l'appui de son supérieur. Ce combat n'est pas celui de Walffadjir. Mais de tous. Ponit de compris avec les autorités."
De l'avis du journaliste Momar Diongue "On est en face à des gouvernants qui ne se fixent aucune limite. On s'est rendu compte que l'interdiction de manifestation publique est une banalité. En ce qui concerne notre profession on se rend compte que notre ministre sa spécialité c'est de couper de signal, Internet mobile. Et maintenant il est passé à une vitesse supérieure c'est de retirer la licence de Walffadjir. Alors personne n'acceptera qu'on enterre l'héritage de Sidy Lamine Naiss."
Le député Pape Djibril de profession journaliste rappelle au régime de Macky Sall que " La vitalité de l'information" et aux journalistes qu'ils sont de "grands messieurs dames qui ne doivent pas accepter d'être Infatillés. Acelui qui a pris cette décision inique, son patron est le précurseur des médias non etiques."
Seydi Gassama qui s'est exprimé au nom des organisations des droits humains : "Le retrait n'est que le dernier acte le plus grave parmi les agressions de Macky. Y a plus grandes dérives, arrêter un journaliste au sortir de l'émission. C'est Macky qui est à l'origine de ce retrait. C'est honteux de ne peut voir aujourd'hui quelqu'un comme Madiambal Ndiaye, Yoro Dia ou un autre comme El Hadji kassé sur le terrain. Moussa Bocar n'est que le bras armé de Macky"
Reporters sans Frontières, représenté par Jeanne Lagarde rafraîchit la mémoire des autorités. "Les textes de lois garantissent la libérte de la presse. Et pourtant en moins de deux ans une quinzaine de journalistes sont arrêtés. En trois ans Walffadjir a fait l'objet de 3 restrictions. C'est un ciblage abusif".
Autres articles
-
Distribution d'eau à Dakar, Thiès, Tivaouane : la SEN'EAU annonce des perturbations sur le réseau
-
Autopont Front de Terre : le préfet de Dakar annonce son ouverture mardi prochain
-
Justice : le journaliste Adama Gaye en garde à vue pour "diffusion de fausses nouvelles"
-
Sokone : un dealer interpellé avec 3,2 kg de chanvre indien stockés dans sa chambre
-
L’Afrique subsaharienne représente 50% des besoins de financement (PAM)