Le Premier ministre Abdoul Mbaye, qui présidait la rencontre a dit que ce financement sera surtout orienté vers la réhabilitation des projets qui, par le passé ont connu d’énormes difficultés pour être exécutés faute de financements, afin de leur offrir un taux d’exécution satisfaisant.
Il est aussi convenu au cours des mêmes travaux d’identifier les projets auxquels on doit apporter des fonds supplémentaires. Cette réunion à laquelle participaient des élus, agents administratifs, agents techniques des services déconcentrés de l’Etat, a aussi permis au gouvernement de mettre en perspective d’autres formes de projets qui pourraient à la limite ouvrir les portes du développement local, et du bien être social des populations. Vu que la ville de Kaolack de par son passé a joué un rôle fondamental pour le développement économique et social du Sénégal, l’ensemble des participants à cette rencontre inter ministérielle, ont jugé important de lui restituer son lustre d’antan. Ville carrefour de par sa position sur la cartographie du Sénégal, et de la sous région, Kaolack est naturellement une passerelle, une cité tampon dans le cadre des transactions commerciales entre certaines régions du pays, et d’autres pays limitrophes du Sénégal.
Les nombreux commerçants guinéens, gambiens burkinabés ou maliens, dont les activités commerciales sont souvent orientées vers le Sénégal, traversent toujours la ville de Kaolack pour rallier la capitale Dakar. Mais cette région est aussi une terre d’agriculture par excellence d’où sa vocation de bassin arachidier. Ainsi le Conseil inter ministériel fort de toutes ces considérations, a estimé nécessaire de parachever le lancement du projet de réhabilitation de la station portuaire.
Après les dernières études menées conjointement avec certains partenaires étrangers, notamment l’Inde, il s’agit de réunir l’ensemble des forces pour une restitution progressive et une restauration les activités du port en direction des régions et des pays voisins du Sénégal. Même si cette région perd de plus en plus sa vocation de bassin arachidier qui s’est affaiblie d’année en année, le chef du gouvernement trouve qu’il est aujourd’hui nécessaire de lui redonner un nouvel élan pour assurer le développement de son agriculture.
A ce titre, des efforts particuliers doivent être faits en direction de la disponibilité des semences de qualité, un financement correct des producteurs, et l’installation d’entrepôts. Mais ce qui paraît incontournable dans le projet d’émergence d’une agriculture nouvelle ressort de la disponibilité de semences certifiées, car jusque là, estime le Premier ministre, le Sénégal ne dispose pas encore de semences de qualité et en quantité suffisante pour ses paysans.
L’ETAT REITERE SON ENGAGEMENT DE SECOURIR LE MONDE RURAL
Le Premier ministre Abdoul MBaye a annoncé quelques instants après le Conseil interministériel qu’il a partagé avec l’ensemble des parties prenantes du développement local de Kaolack, l’intention de son gouvernement de jouer les premiers rôles dans les programmes de développement local, mais d’être en permanence au chevet des populations rurales en matière d’intervention. Au cours de ses travaux, la rencontre a abordé beaucoup de sujets sui touchent les programmes locaux de développement de l’Agriculture. Ces débats ont été sanctionnés par une étude généralisée sur la précédente campagne agricole.
Visiblement sanctionnée par une baisse de la pluviométrie par rapport aux années passées, l’absence de semences de qualité, le manque de moyens matériels et financiers des producteurs, le chef du gouvernement a ainsi pris l’initiative de dresser un nouveau carnet de route en direction des prochaines campagnes agricoles. Le Premier ministre Abdoul Mbaye préconise ainsi de revoir cette vieille revendication paysanne liée à la qualité des semences.
Dans un pays comme le Sénégal où l’agriculture est naturellement dépendante de la pluviométrie, il a également eu l’idée de trouver d’autres sources palliatives permettant plus tard aux producteurs de ne plus dépendre en exclusivité de la pluie, en implantant des sources additionnelles telles que les bassins de rétention. Même s’il reste évident que des tonnes de vivres ont été acheminées vers les populations rurales pour combattre la soudure installée cette année plutôt que prévu, le chef du gouvernement a aussi réitéré l’engagement de son gouvernement pour la subvention de l’alimentation du bétail afin d’installer les éleveurs de la région dans des conditions leur permettant de mener convenablement leurs activités professionnelles.
Avec Sudonline
Il est aussi convenu au cours des mêmes travaux d’identifier les projets auxquels on doit apporter des fonds supplémentaires. Cette réunion à laquelle participaient des élus, agents administratifs, agents techniques des services déconcentrés de l’Etat, a aussi permis au gouvernement de mettre en perspective d’autres formes de projets qui pourraient à la limite ouvrir les portes du développement local, et du bien être social des populations. Vu que la ville de Kaolack de par son passé a joué un rôle fondamental pour le développement économique et social du Sénégal, l’ensemble des participants à cette rencontre inter ministérielle, ont jugé important de lui restituer son lustre d’antan. Ville carrefour de par sa position sur la cartographie du Sénégal, et de la sous région, Kaolack est naturellement une passerelle, une cité tampon dans le cadre des transactions commerciales entre certaines régions du pays, et d’autres pays limitrophes du Sénégal.
Les nombreux commerçants guinéens, gambiens burkinabés ou maliens, dont les activités commerciales sont souvent orientées vers le Sénégal, traversent toujours la ville de Kaolack pour rallier la capitale Dakar. Mais cette région est aussi une terre d’agriculture par excellence d’où sa vocation de bassin arachidier. Ainsi le Conseil inter ministériel fort de toutes ces considérations, a estimé nécessaire de parachever le lancement du projet de réhabilitation de la station portuaire.
Après les dernières études menées conjointement avec certains partenaires étrangers, notamment l’Inde, il s’agit de réunir l’ensemble des forces pour une restitution progressive et une restauration les activités du port en direction des régions et des pays voisins du Sénégal. Même si cette région perd de plus en plus sa vocation de bassin arachidier qui s’est affaiblie d’année en année, le chef du gouvernement trouve qu’il est aujourd’hui nécessaire de lui redonner un nouvel élan pour assurer le développement de son agriculture.
A ce titre, des efforts particuliers doivent être faits en direction de la disponibilité des semences de qualité, un financement correct des producteurs, et l’installation d’entrepôts. Mais ce qui paraît incontournable dans le projet d’émergence d’une agriculture nouvelle ressort de la disponibilité de semences certifiées, car jusque là, estime le Premier ministre, le Sénégal ne dispose pas encore de semences de qualité et en quantité suffisante pour ses paysans.
L’ETAT REITERE SON ENGAGEMENT DE SECOURIR LE MONDE RURAL
Le Premier ministre Abdoul MBaye a annoncé quelques instants après le Conseil interministériel qu’il a partagé avec l’ensemble des parties prenantes du développement local de Kaolack, l’intention de son gouvernement de jouer les premiers rôles dans les programmes de développement local, mais d’être en permanence au chevet des populations rurales en matière d’intervention. Au cours de ses travaux, la rencontre a abordé beaucoup de sujets sui touchent les programmes locaux de développement de l’Agriculture. Ces débats ont été sanctionnés par une étude généralisée sur la précédente campagne agricole.
Visiblement sanctionnée par une baisse de la pluviométrie par rapport aux années passées, l’absence de semences de qualité, le manque de moyens matériels et financiers des producteurs, le chef du gouvernement a ainsi pris l’initiative de dresser un nouveau carnet de route en direction des prochaines campagnes agricoles. Le Premier ministre Abdoul Mbaye préconise ainsi de revoir cette vieille revendication paysanne liée à la qualité des semences.
Dans un pays comme le Sénégal où l’agriculture est naturellement dépendante de la pluviométrie, il a également eu l’idée de trouver d’autres sources palliatives permettant plus tard aux producteurs de ne plus dépendre en exclusivité de la pluie, en implantant des sources additionnelles telles que les bassins de rétention. Même s’il reste évident que des tonnes de vivres ont été acheminées vers les populations rurales pour combattre la soudure installée cette année plutôt que prévu, le chef du gouvernement a aussi réitéré l’engagement de son gouvernement pour la subvention de l’alimentation du bétail afin d’installer les éleveurs de la région dans des conditions leur permettant de mener convenablement leurs activités professionnelles.
Avec Sudonline
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