L'entreprise malienne Royal BTP, en charge de la construction des universités de Tambacounda et de Matam, a brisé son silence pour répondre à une campagne de désinformation visant sa société. Dans un communiqué daté de ce jeudi 14, parvenu à PressAfrik, Royal BTP a dénoncé une tentative de "ternir l'image" de l'entreprise, précisant que cette sortie s'inscrivait "dans un souci de transparence".
Le communiqué revient tout d'abord sur l'appel d'offres. Selon Royal BTP, et contrairement aux accusations de marché attribué de gré à gré, l'entreprise a été sélectionnée à l'issue d'un appel d’offres national respectant scrupuleusement les règles en vigueur. "Notre offre, conforme aux critères d'exigence, a été jugée la plus compétitive. Ces faits sont aisément vérifiables auprès des structures compétentes en matière de passation des marchés publics", a souligné l'entreprise.
Le communiqué précise ensuite que Royal BTP est pleinement engagée dans la construction des infrastructures de l’Université Souleymane Niang à Matam, incluant les bâtiments pédagogiques, administratifs et d’accueil. "Bien que les travaux soient toujours en cours, nous avons déjà atteint un taux d'exécution de 25 %, largement supérieur aux 10 % initialement prévus à ce stade", a indiqué Royal BTP.
Cette performance a été saluée par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane Diouf, lors de sa visite récente sur le chantier. Selon le communiqué, le ministre a exprimé son admiration pour l'engagement et le professionnalisme de l'entreprise, annonçant que l'université pourrait accueillir ses premiers étudiants dès octobre 2026.
Dénégations et clarifications
En réponse à des rumeurs infondées, Royal BTP a fermement démenti les calomnies visant son PDG, M. Ibrahim Karagara. "Les rumeurs concernant son arrestation supposée à Bamako sont grotesques et totalement infondées. M. Karagara effectue régulièrement des déplacements entre Dakar et Bamako, comme l'attestent ses nombreux billets d’avion", précise le communiqué.
L'entreprise a également apporté un démenti formel aux accusations selon lesquelles elle ne serait pas enregistrée au Mali ou au Sénégal. "Royal BTP est légalement constituée et ses documents officiels sont consultables auprès des autorités sénégalaises, notamment chez le notaire Yaya Diallo", souligne l'entreprise.
Engagement pour la transparence et l’excellence
Depuis plus de dix ans, Royal BTP est une entreprise de droit malien opérant avec succès au Mali, en Côte d'Ivoire et au Sénégal. "Notre expertise, notre professionnalisme et notre respect des normes nous permettent de contribuer significativement au développement des infrastructures, tout en respectant les lois nationales et communautaires (UEMOA, CEDEAO)", indique l'entreprise dans son communiqué.
Royal BTP condamne fermement les tentatives de dénigrement émanant de certains concurrents, les qualifiant de dénuées d'arguments et de compétences.
Enfin, Royal BTP réaffirme son engagement au Président Diomaye Faye et à son Premier ministre à mener à bien "ce chantier emblématique" et se dit prête à accompagner d’autres projets futurs dans le strict respect des règles de transparence et de concurrence. "Nous restons attachés à nos valeurs de transparence, d'excellence et de contribution au développement des infrastructures en Afrique", conclut l'entreprise.
Le communiqué revient tout d'abord sur l'appel d'offres. Selon Royal BTP, et contrairement aux accusations de marché attribué de gré à gré, l'entreprise a été sélectionnée à l'issue d'un appel d’offres national respectant scrupuleusement les règles en vigueur. "Notre offre, conforme aux critères d'exigence, a été jugée la plus compétitive. Ces faits sont aisément vérifiables auprès des structures compétentes en matière de passation des marchés publics", a souligné l'entreprise.
Le communiqué précise ensuite que Royal BTP est pleinement engagée dans la construction des infrastructures de l’Université Souleymane Niang à Matam, incluant les bâtiments pédagogiques, administratifs et d’accueil. "Bien que les travaux soient toujours en cours, nous avons déjà atteint un taux d'exécution de 25 %, largement supérieur aux 10 % initialement prévus à ce stade", a indiqué Royal BTP.
Cette performance a été saluée par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane Diouf, lors de sa visite récente sur le chantier. Selon le communiqué, le ministre a exprimé son admiration pour l'engagement et le professionnalisme de l'entreprise, annonçant que l'université pourrait accueillir ses premiers étudiants dès octobre 2026.
Dénégations et clarifications
En réponse à des rumeurs infondées, Royal BTP a fermement démenti les calomnies visant son PDG, M. Ibrahim Karagara. "Les rumeurs concernant son arrestation supposée à Bamako sont grotesques et totalement infondées. M. Karagara effectue régulièrement des déplacements entre Dakar et Bamako, comme l'attestent ses nombreux billets d’avion", précise le communiqué.
L'entreprise a également apporté un démenti formel aux accusations selon lesquelles elle ne serait pas enregistrée au Mali ou au Sénégal. "Royal BTP est légalement constituée et ses documents officiels sont consultables auprès des autorités sénégalaises, notamment chez le notaire Yaya Diallo", souligne l'entreprise.
Engagement pour la transparence et l’excellence
Depuis plus de dix ans, Royal BTP est une entreprise de droit malien opérant avec succès au Mali, en Côte d'Ivoire et au Sénégal. "Notre expertise, notre professionnalisme et notre respect des normes nous permettent de contribuer significativement au développement des infrastructures, tout en respectant les lois nationales et communautaires (UEMOA, CEDEAO)", indique l'entreprise dans son communiqué.
Royal BTP condamne fermement les tentatives de dénigrement émanant de certains concurrents, les qualifiant de dénuées d'arguments et de compétences.
Enfin, Royal BTP réaffirme son engagement au Président Diomaye Faye et à son Premier ministre à mener à bien "ce chantier emblématique" et se dit prête à accompagner d’autres projets futurs dans le strict respect des règles de transparence et de concurrence. "Nous restons attachés à nos valeurs de transparence, d'excellence et de contribution au développement des infrastructures en Afrique", conclut l'entreprise.