L’Union des magistrats du Sénégal est une organisation qui fait ses commentaires, mais (…) l’esprit de concertation qui est un esprit sénégalais nous a toujours réussis jusqu’à présent. Ce sera la philosophie avec laquelle nous gérerons ce département-là».
Mieux, Aminata Touré, précise qu’il ne s’agit pas de revenir sur les acquis : «Non, il ne s’agit pas de revenir en arrière ou d’aller en avant. Il s’agit de discuter de manière constructive, parce que le Sénégal est à un niveau où je crois qu’on peut faire l’économie des conflits etc. Et nous atteler à un consensus pour renforcer notre système judiciaire et nous acheminer résolument vers le développement de ce pays». Et d’ajouter, concernant le statut des magistrats : «j’ai fait les commentaires qui s’y collent et voilà, tout cela sera discuté dans les cadres convenus».
Selon le journal l’Observateur, dans son édition d’hier mardi 24 juillet, lors d’une rencontre entre le ministre de la Justice et l’Ums, des divergences seraient apparues sur trois points essentiels. La première porte sur le statut des magistrats qui était en chantier sous l’ancien régime et devait être présenté devant le conseil des ministres si l’alternance n’était pas survenue le 25 mars dernier. Le deuxième point, concerne le fonds commun des magistrats créé en décembre 2011 par décret du présidentiel. Le dernier point porte sur les congés que le ministre voudrait ramener de 45 à 30 jours.
Pour l’Ums, il n’est pas question de revenir sur ces «acquis». «Ces trois points sont déjà acquis et il est hors de question pour nous de revenir sur cela», a dit Abdoul Aziz Seck, président de l'Ums.
Avec Sudonline
Mieux, Aminata Touré, précise qu’il ne s’agit pas de revenir sur les acquis : «Non, il ne s’agit pas de revenir en arrière ou d’aller en avant. Il s’agit de discuter de manière constructive, parce que le Sénégal est à un niveau où je crois qu’on peut faire l’économie des conflits etc. Et nous atteler à un consensus pour renforcer notre système judiciaire et nous acheminer résolument vers le développement de ce pays». Et d’ajouter, concernant le statut des magistrats : «j’ai fait les commentaires qui s’y collent et voilà, tout cela sera discuté dans les cadres convenus».
Selon le journal l’Observateur, dans son édition d’hier mardi 24 juillet, lors d’une rencontre entre le ministre de la Justice et l’Ums, des divergences seraient apparues sur trois points essentiels. La première porte sur le statut des magistrats qui était en chantier sous l’ancien régime et devait être présenté devant le conseil des ministres si l’alternance n’était pas survenue le 25 mars dernier. Le deuxième point, concerne le fonds commun des magistrats créé en décembre 2011 par décret du présidentiel. Le dernier point porte sur les congés que le ministre voudrait ramener de 45 à 30 jours.
Pour l’Ums, il n’est pas question de revenir sur ces «acquis». «Ces trois points sont déjà acquis et il est hors de question pour nous de revenir sur cela», a dit Abdoul Aziz Seck, président de l'Ums.
Avec Sudonline