Le porte-parole de l’ancienne formation politique au pouvoir était interpellé sur le discours du nouvel an du président de la République, Me Abdoulaye Wade qui a accepté la nomination d’un médiateur pour rapprocher les positions entre le pouvoir et l’opposition sur le code électoral. « Nous voulons des personnalités qui ont une compétence avérées en la matière électorale et politique », a insisté Mme Sall qui ajoute que ces personnalités vont amener autour d’une table de négociation l’opposition et la mouvance présidentielle afin d’arriver à trouver des points de consensus qui « paraissent fondamentaux pour aller vers des élections apaisées ».
Si la requête des socialistes est acceptée par le président Wade, ce serait un retour aux consensus qui ont jalonné le débat électoral depuis 1992. Pour rappel en 2005, une commission cellulaire a été mise en place et dirigée par le Pr Babacar Gueye. Les travaux de cette commission avaient abouti à la création d’une commission électorale nationale autonome (Cena). Plus loin en 1992, le juge Kéba Mbaye entouré d’autres personnalités avait conduit la concertation entre l’opposition d’alors dirigée par Me Abdoulaye Wade et le pouvoir socialiste. Les discussions avaient permis la création d’un code électoral consensuel. Une commission avait également travaillé en 1996 et cela avait abouti à la mise sur pied de l’Observatoire national des élections (Onel) qui a organisé le scrutin présidentiel de 2000 gagné par la coalition de l’opposition.
Si la requête des socialistes est acceptée par le président Wade, ce serait un retour aux consensus qui ont jalonné le débat électoral depuis 1992. Pour rappel en 2005, une commission cellulaire a été mise en place et dirigée par le Pr Babacar Gueye. Les travaux de cette commission avaient abouti à la création d’une commission électorale nationale autonome (Cena). Plus loin en 1992, le juge Kéba Mbaye entouré d’autres personnalités avait conduit la concertation entre l’opposition d’alors dirigée par Me Abdoulaye Wade et le pouvoir socialiste. Les discussions avaient permis la création d’un code électoral consensuel. Une commission avait également travaillé en 1996 et cela avait abouti à la mise sur pied de l’Observatoire national des élections (Onel) qui a organisé le scrutin présidentiel de 2000 gagné par la coalition de l’opposition.