« Nous sommes malheureusement dans l’obligation de procéder à cet ajustement. C’est cela ou le licenciement d’une partie du personnel ou même l’augmentation du prix à 200 F CFA pour ne pas voir le quotidien d’information générales périr », expliquent nos confrères dans une de leurs fameuses piques où ils espèrent « cette pagination passagère et variera » à chaque fois que « la publicité sera abondante ».
C’est tout le mal qu’on leur souhaite.
C’est tout le mal qu’on leur souhaite.