Dans le souci de mieux encadrer cette main d’œuvre dont l’importance n’est plus démontrer que la CEA tient ses travaux avec ses partenaires africains. La rencontre de deux jours fait suite à une série de ce genre tenu dans des pays comme l’Afrique du Sud, Côte d’Ivoire, Mali, Maroc, Sénégal, Zimbabwe entre 2021 et 2023. Khaled Hussein est le chef bureau Afrique du nord de la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA). Selon lui, il est nécessaire de mener des réflexions sur cette manne financière qui joue un rôle prépondérant dans les économies africaines. « Nous allons réfléchir sur comment appuyer les Etats à la collecte de données et aider les membres à trouver des mécanismes par la mise en place d’un cadre qui permettra de connaitre la qualité et la compétence des migrants en 2024 et dans l’avenir », a déclaré Monsieur Khaled Hussein. Pour qui, « 90% des envois de la diaspora africaine sont destinés à des secteurs socio-économiques des pays africains.
La manne financière que constitue l’argent envoyé par les migrants est en partie destinée à plusieurs volets. Dont la santé, l’éducation et la construction font partie. « Les envois de fonds vers les pays d’origines sont très importants dont 90/% sont destinés à la santé, à l’éducation et à la construction qui sont des leviers très importants pour les Etas africains », confie le représentant de la CEA.
La rencontre de Dakar sur cette question a vu la participation de près de 50 personnes issues de 6 pays différents. Ce cadre de partage, selon ses organisateurs, a pour mission de contribuer à l’amélioration de la croissance et de la conscience de la contribution de la diaspora dans les économies de leurs pays d’origine.
La manne financière que constitue l’argent envoyé par les migrants est en partie destinée à plusieurs volets. Dont la santé, l’éducation et la construction font partie. « Les envois de fonds vers les pays d’origines sont très importants dont 90/% sont destinés à la santé, à l’éducation et à la construction qui sont des leviers très importants pour les Etas africains », confie le représentant de la CEA.
La rencontre de Dakar sur cette question a vu la participation de près de 50 personnes issues de 6 pays différents. Ce cadre de partage, selon ses organisateurs, a pour mission de contribuer à l’amélioration de la croissance et de la conscience de la contribution de la diaspora dans les économies de leurs pays d’origine.