
La cérémonie de signature de conventions de partenariat entre la direction de l’emploi et des entreprises privées a eu lieu ce jeudi. Lors des discussions, le secteur privé a demandé à l’Etat d’augmenter l’enveloppe de l’allocation destinée aux entreprises privées dans le cadre de la convention Etat-employeur.
Malick Guèye président de la commission compétences professionnelles, emploi et entreprenariat du Conseil national du patronat (CNP) propose une hausse de l’enveloppe pour impacter plus sur le monde de l’emplois. « Pendant plus de 20 ans, cette convention nationale Etat-employeur était bloquée à 1 milliard de francs CFA. Cette année, je pense que si on pouvait maintenir au moins les 10 milliards et peut-être même relever cette enveloppe, ça serait vraiment très utile pour accompagner les entreprises mais surtout, pour favoriser la création d’emplois », a -t-il proposé.
Selon M. Guèye un milliard peut aider à générer 800 emplois et qu’avec 20 milliards cela pouvait impacter sur 20 000 emplois. Signalant : « des 20 milliards, on est passé à 15 milliards en 2022, puis à 10 milliards en 2023, puis encore à 10 milliards l’année dernière ; donc je vous demande vraiment de relever cette allocation cette année ou au moins, la maintenir à 10 milliards », a-t-il plaidé.
D’après Malick Guèye « il est important, à l’heure actuelle, de créer des emplois, mais aussi d’accompagner des emplois nouveaux avec l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies. Si on ne favorise pas l’insertion de ce type d’emploi, on va passer à côté et on va accompagner peut-être des emplois qui vont péricliter très rapidement dans les prochaines années ».
Le patronat a ainsi demandé la mise à jour de la convention dont la dernière révision date du 25 avril 2000. « La Convention nationale Etat-employeur a été mise en place en 1927 et adoptée le 13 août 1987. La deuxième convention a été écrite en 2000 et on rêve d’une troisième génération avec l’aide de tous les partenaires », a rappelé Babacar Sy Directeur de l’emploi.
M. Sy a soutenu que la raison d’être de la Convention nationale Etat-employeur était de lutter contre le chômage des jeunes précisant que cet aspect reste toujours sa priorité.
Abdoulaye Dièye, Secrétaire général du ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions, s’exprimant au nom du ministre de tutelle a indiqué avoir pris bonne note des suggestions qui ont été formulées dans le sens de renforcer l’efficacité et l’efficience de cet important dispositif que constitue la Convention nationale État-emploi. « Nous portons le combat ensemble pour que les ressources puissent être renforcées à la hauteur des attentes et des ambitions que nos jeunes nourrissent pour leur avenir », a-t-il lancé.
Malick Guèye président de la commission compétences professionnelles, emploi et entreprenariat du Conseil national du patronat (CNP) propose une hausse de l’enveloppe pour impacter plus sur le monde de l’emplois. « Pendant plus de 20 ans, cette convention nationale Etat-employeur était bloquée à 1 milliard de francs CFA. Cette année, je pense que si on pouvait maintenir au moins les 10 milliards et peut-être même relever cette enveloppe, ça serait vraiment très utile pour accompagner les entreprises mais surtout, pour favoriser la création d’emplois », a -t-il proposé.
Selon M. Guèye un milliard peut aider à générer 800 emplois et qu’avec 20 milliards cela pouvait impacter sur 20 000 emplois. Signalant : « des 20 milliards, on est passé à 15 milliards en 2022, puis à 10 milliards en 2023, puis encore à 10 milliards l’année dernière ; donc je vous demande vraiment de relever cette allocation cette année ou au moins, la maintenir à 10 milliards », a-t-il plaidé.
D’après Malick Guèye « il est important, à l’heure actuelle, de créer des emplois, mais aussi d’accompagner des emplois nouveaux avec l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies. Si on ne favorise pas l’insertion de ce type d’emploi, on va passer à côté et on va accompagner peut-être des emplois qui vont péricliter très rapidement dans les prochaines années ».
Le patronat a ainsi demandé la mise à jour de la convention dont la dernière révision date du 25 avril 2000. « La Convention nationale Etat-employeur a été mise en place en 1927 et adoptée le 13 août 1987. La deuxième convention a été écrite en 2000 et on rêve d’une troisième génération avec l’aide de tous les partenaires », a rappelé Babacar Sy Directeur de l’emploi.
M. Sy a soutenu que la raison d’être de la Convention nationale Etat-employeur était de lutter contre le chômage des jeunes précisant que cet aspect reste toujours sa priorité.
Abdoulaye Dièye, Secrétaire général du ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions, s’exprimant au nom du ministre de tutelle a indiqué avoir pris bonne note des suggestions qui ont été formulées dans le sens de renforcer l’efficacité et l’efficience de cet important dispositif que constitue la Convention nationale État-emploi. « Nous portons le combat ensemble pour que les ressources puissent être renforcées à la hauteur des attentes et des ambitions que nos jeunes nourrissent pour leur avenir », a-t-il lancé.
Autres articles
-
Le FDR chez le Khalife des Mourides : Modou Diagne Fada dénonce les arrestations et la justice à deux vitesses
-
Assemblée nationale: un premier pas franchi vers l’adoption de la proposition de loi sur l’amnistie
-
L’APR appelle à une manifestation pacifique le 2 avril devant l’Assemblée nationale
-
Proposition de loi sur l’amnistie: Cheikhna Keita dénonce les motivations du Pastef et s’oppose à la « diabolisation des forces de l’ordre »
-
La SEN APR invite le peuple sénégalais à manifester le deux (2) avril devant l'Assemblée nationale