«La Convergence socialiste condamne fermement, avec la dernière énergie les attaques impertinentes et insultantes à l’endroit de notre secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng. Nous ne cautionnerons jamais une telle forfaiture dictée par l’opportunisme et l’égoïsme». C’est en ces termes que les jeunes socialistes ont déploré la sortie de leur camarade Malick Noel Seck, coordonnateur de la Convergence socialiste. Selon Antoine Tine, membre de la convergence, cellule Ucad, le bureau de la convergence à été mis devant le fait accompli. Il n’y a pas eu de réunion préliminaire. Suffisant pour déclarer que «les propos de Malick Noel Seck n’engage pas la convergence».
Selon ces jeunes socialistes, c’est par frustration que M. Seck a fait cette sortie dans la presse. «Malick Noël avait déposé un dossier de candidature aux Forceps pour une investiture sur les listes de Benno Book Yaakaar. C’est ainsi qu’après la clôture des listes «déçu et désemparé, et devenu paranoïaque, il ne trouve d’autres issues que de s’en prendre à la personne morale du parti, qu’il voue désormais aux gémonies après avoir été depuis 7 ans un thuriféraire plus que zélé en resquillant dans l’actualité», indiquent ils. Ils ont flingué M. Seck, qu’ils considèrent comme ennemi à présent. D’après eux, la célébrité lui est montée à la tête. A cet effet, ils le voient comme un prototype de l’enfant politique médiocre qui ne savoure les avantages de sa réputation qu’incarcéré ou le statut de détenu politique, propulse immanquablement la victime sur le devant de la scène médiatique.
Selon ces jeunes socialistes, c’est par frustration que M. Seck a fait cette sortie dans la presse. «Malick Noël avait déposé un dossier de candidature aux Forceps pour une investiture sur les listes de Benno Book Yaakaar. C’est ainsi qu’après la clôture des listes «déçu et désemparé, et devenu paranoïaque, il ne trouve d’autres issues que de s’en prendre à la personne morale du parti, qu’il voue désormais aux gémonies après avoir été depuis 7 ans un thuriféraire plus que zélé en resquillant dans l’actualité», indiquent ils. Ils ont flingué M. Seck, qu’ils considèrent comme ennemi à présent. D’après eux, la célébrité lui est montée à la tête. A cet effet, ils le voient comme un prototype de l’enfant politique médiocre qui ne savoure les avantages de sa réputation qu’incarcéré ou le statut de détenu politique, propulse immanquablement la victime sur le devant de la scène médiatique.