Le ministère de l'Urbanisme, des collectivités territoriales et de l'aménagement des territoires, en synergie avec la Direction de la coopération décentralisée (DIRCOD) et le Fonds andalou des municipalités pour la solidarité internationale (FAMSI), a procédé, ce mardi, à la signature d’un accord de coopération décentralisée lors d’un séminaire sur l'approche territoriale.
Cette activité vise à « renforcer les pratiques de coopération territoriale au Sénégal et à explorer les modèles de partenariat favorisant le développement territorial ». Cela constitue une priorité stratégique de l'État sénégalais pour « promouvoir l'intercommunalité et une gouvernance territoriale plus intégrée », notamment à travers la mise en place des « huit pôles territoriaux du pays ».
« Cette initiative a pour objectif de renforcer les pratiques de coopération décentralisée au Sénégal et d'explorer les modèles de partenariat favorisant le développement territorial, à travers la création des huit pôles territoriaux », a déclaré Amamdou Manel Fall, représentant du ministre de l’Urbanisme.
Par ailleurs, le Directeur de cabinet du ministre de l'Urbanisme a appelé les acteurs de la coopération décentralisée à s’unir au travers d'un dialogue structuré et inclusif, afin de « créer un cadre favorable au développement de l’action extérieure des collectivités territoriales, et ainsi faire face aux défis économiques, politiques, sociaux et environnementaux de nos territoires ».
Pour M. Fall, « la coopération décentralisée joue un rôle essentiel dans le développement et la valorisation des ressources locales, ainsi que dans l'amélioration de la qualité de vie des citoyens. Le gouvernement du Sénégal a adopté une nouvelle vision, dénommée SENEGAL 2050, visant à promouvoir le développement endogène et souverain des territoires. Cette stratégie met l'accent sur l'autonomie locale, la valorisation des ressources locales et le renforcement de la souveraineté des autorités locales ».
Madame Maria Dolores Rios Peset, ambassadrice d'Espagne au Sénégal, est revenue sur l’importance de cet atelier. Selon elle, les deux parties doivent travailler en synergie. « Nous pensons qu'il est nécessaire de collaborer efficacement entre les deux parties. Il est important d’avoir des centres décentralisés. L’Espagne, qui est un pays décentralisé, dispose d’un système de coopération diversifié et inclusif qui regroupe non seulement la coopération de l'État, mais aussi celle des régions et des petites municipalités. Nous travaillons ensemble avec ces mairies et l'Union européenne pour atteindre le développement et être plus proches des besoins des citoyens. En Espagne, il y a 17 communautés autonomes qui ont connu un grand développement. Nous croyons que cette expérience peut être appliquée ici, et que le Sénégal peut également se développer à partir des pôles désignés par son gouvernement. »
Cette activité vise à « renforcer les pratiques de coopération territoriale au Sénégal et à explorer les modèles de partenariat favorisant le développement territorial ». Cela constitue une priorité stratégique de l'État sénégalais pour « promouvoir l'intercommunalité et une gouvernance territoriale plus intégrée », notamment à travers la mise en place des « huit pôles territoriaux du pays ».
« Cette initiative a pour objectif de renforcer les pratiques de coopération décentralisée au Sénégal et d'explorer les modèles de partenariat favorisant le développement territorial, à travers la création des huit pôles territoriaux », a déclaré Amamdou Manel Fall, représentant du ministre de l’Urbanisme.
Par ailleurs, le Directeur de cabinet du ministre de l'Urbanisme a appelé les acteurs de la coopération décentralisée à s’unir au travers d'un dialogue structuré et inclusif, afin de « créer un cadre favorable au développement de l’action extérieure des collectivités territoriales, et ainsi faire face aux défis économiques, politiques, sociaux et environnementaux de nos territoires ».
Pour M. Fall, « la coopération décentralisée joue un rôle essentiel dans le développement et la valorisation des ressources locales, ainsi que dans l'amélioration de la qualité de vie des citoyens. Le gouvernement du Sénégal a adopté une nouvelle vision, dénommée SENEGAL 2050, visant à promouvoir le développement endogène et souverain des territoires. Cette stratégie met l'accent sur l'autonomie locale, la valorisation des ressources locales et le renforcement de la souveraineté des autorités locales ».
Madame Maria Dolores Rios Peset, ambassadrice d'Espagne au Sénégal, est revenue sur l’importance de cet atelier. Selon elle, les deux parties doivent travailler en synergie. « Nous pensons qu'il est nécessaire de collaborer efficacement entre les deux parties. Il est important d’avoir des centres décentralisés. L’Espagne, qui est un pays décentralisé, dispose d’un système de coopération diversifié et inclusif qui regroupe non seulement la coopération de l'État, mais aussi celle des régions et des petites municipalités. Nous travaillons ensemble avec ces mairies et l'Union européenne pour atteindre le développement et être plus proches des besoins des citoyens. En Espagne, il y a 17 communautés autonomes qui ont connu un grand développement. Nous croyons que cette expérience peut être appliquée ici, et que le Sénégal peut également se développer à partir des pôles désignés par son gouvernement. »
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