Le vendredi saint symbolise pour la communauté chrétienne, le jour ou le Prophète Jésus Christ de Nazareth a accepté la mort sur la croix pour sauver l’humanité. De ce fait, le vendredi saint est d’une importance capitale en ce dernier jour de carême. Mais également dans la démarche du fidèle catholique surtout avec le chemin de croix qui dessine de manière générale la souffrance du prophète Jésus Christ.
Avant sa résurrection, le dimanche qui marque le troisième jour après la mort du sauveur, les fidèles catholiques se sentent orphelins. «On ressent un vide énorme. Surtout qu’on a plus droit à nos rituelles du culte chrétien pour les rassemblements. On est plus devant les prêtres et nous savons ce qu’ils représentent pour nous chrétiens. On a plus droit à la communion. Le vide est de taille, et là, on tend vers une pâque où on sera obligé de transformer nos maisons en église.
Pour suivre les recommandations de nos évêques et prêtres. Et même avec le support de l’internet, nous partageons des textes pour la méditation. Mais ça reste. C’est comme un repas sans sel. J’ai pas trop ressenti ce carême », explique Madame Diatta Jeanne Béatrice Manga, principale du CEM de Carabane dans la région de Ziguinchor. Elle regrette également de n’avoir pas l’occasion de vivre le jeudi saint. Le jour où le Seigneur Jésus a lavé les pieds de ses disciples. Sur l’absence du « Ngalakh » devenu notre modèle de commune volonté de vivre ensemble à travers le dialogue islamo - chrétien, la bonne dame s’en désole et garde l’espoir que bientôt tous, ensemble, nous allons effacer ce tableau noir de la pandémie du coronavirus.
Dans la banlieue de Dakar précisément à Pikine, Thérèse Mendy ne cache pas sa tristesse. « C’est triste, c’est vraiment triste pour nous fidèles catholiques. Un vendredi saint sans chemin de croix. Vu tout ce que cela représente pour nous. C’est le jour où notre sauveur a dit oui à la mort pour sauver toute l’humanité » regrette la jeune demoiselle qui pense dans ce contexte si particulier, la première mission de l’église est de participer à combattre la pandémie. Et pour cela il faut impérativement éviter les rassemblements.
Le Témoin
Avant sa résurrection, le dimanche qui marque le troisième jour après la mort du sauveur, les fidèles catholiques se sentent orphelins. «On ressent un vide énorme. Surtout qu’on a plus droit à nos rituelles du culte chrétien pour les rassemblements. On est plus devant les prêtres et nous savons ce qu’ils représentent pour nous chrétiens. On a plus droit à la communion. Le vide est de taille, et là, on tend vers une pâque où on sera obligé de transformer nos maisons en église.
Pour suivre les recommandations de nos évêques et prêtres. Et même avec le support de l’internet, nous partageons des textes pour la méditation. Mais ça reste. C’est comme un repas sans sel. J’ai pas trop ressenti ce carême », explique Madame Diatta Jeanne Béatrice Manga, principale du CEM de Carabane dans la région de Ziguinchor. Elle regrette également de n’avoir pas l’occasion de vivre le jeudi saint. Le jour où le Seigneur Jésus a lavé les pieds de ses disciples. Sur l’absence du « Ngalakh » devenu notre modèle de commune volonté de vivre ensemble à travers le dialogue islamo - chrétien, la bonne dame s’en désole et garde l’espoir que bientôt tous, ensemble, nous allons effacer ce tableau noir de la pandémie du coronavirus.
Dans la banlieue de Dakar précisément à Pikine, Thérèse Mendy ne cache pas sa tristesse. « C’est triste, c’est vraiment triste pour nous fidèles catholiques. Un vendredi saint sans chemin de croix. Vu tout ce que cela représente pour nous. C’est le jour où notre sauveur a dit oui à la mort pour sauver toute l’humanité » regrette la jeune demoiselle qui pense dans ce contexte si particulier, la première mission de l’église est de participer à combattre la pandémie. Et pour cela il faut impérativement éviter les rassemblements.
Le Témoin