Mauvaise nouvelle ce mardi dans différents pays européens. L'épidémie de Covid-19 résiste et l'Allemagne note un pic de nouveaux cas, plus de 1700 par jour (1785 mardi contre 1775 lundi). Même chose en Espagne où c'est le nombre de morts quotidiens qui ne diminue plus (410 encore ce mardi). En Italie, 534 personnes sont décédées sur les dernières 24 heures (contre 454 victimes lundi), pour un total de 24 648 morts depuis le début de l'épidémie. Au total, près de 2,5 millions de personnes ont été testées positives au Covid-19 dans le monde, maladie qui a tué plus de 170 000 personnes sur la planète. Le continent européen compte près des deux tiers des décès recensés dans le monde lundi. L'Italie, le pays le plus affecté, dénombre plus de 24 000 morts, suivi de l'Espagne et la France qui ont passé le douloureux cap des 20 000 décès et du Royaume-Uni, où plus de 16 000 personnes sont décédées des suites de la maladie. Après deux jours de baisse consécutifs, l'Espagne a enregistré un bilan quotidien en hausse ce mardi avec 430 nouveaux décès (399 lundi). Au Royaume-Uni, 828 morts ont été enregistrés mardi, contre 449 hier. Aux Etats-Unis, c'est en revanche l'hécatombe. Le pays fait état de plus de 790 000 cas de contamination, et de plus de 42 000 décès du Covid-19.
Les premières mesures de fin de confinement ont été annoncées dans certains pays. C'est par exemple le cas en France, en Espagne et en Italie. La France a prévenu lundi autoriser à nouveau, sous conditions, les visites aux pensionnaires des maisons de retraite. En Italie, certains commerces ont déjà pu rouvrir partiellement, même si les premières mesures d'allègement ne seront pas prises avant le 3 mai. En revanche au Royaume-Uni, le confinement instauré le 23 mars a été prolongé d'au moins trois semaines jeudi et le gouvernement n'envisage pas encore d'en sortir. Aux Etats-Unis, l'Etat de New-York a prolongé le confinement jusqu'au 15 mai, alors d'autres Etats ont commencé de leur côté, à relâcher les règles de distanciation, comme en Floride, où certaines plages ont été autorisées à rouvrir dimanche.
Le confinement de la population a des conséquences désastreuses sur l'économie mondiale, comme la chute spectaculaire du pétrole à New York lundi, lequel a rebondi toutefois ce mardi après avoir atteint un niveau négatif jamais vu dans l'histoire. Le cours du baril, passé en-dessous de zéro pour la première fois. Le baril de 159 litres de pétrole brut coté à New York qui s'échangeait encore à 60 dollars en début d'année et à 18,27 dollars vendredi soir, a finalement terminé à -37,63 dollars lundi. "Le problème c'est qu'en ce moment dans le monde, personne ne conduit de voiture", a observé le président américain Donald Trump. "Les usines sont fermées et les commerces sont fermés" poursuit-il. La situation devrait toutefois s'améliorer dans les jours à venir, estiment plusieurs analystes.
Les premières mesures de fin de confinement ont été annoncées dans certains pays. C'est par exemple le cas en France, en Espagne et en Italie. La France a prévenu lundi autoriser à nouveau, sous conditions, les visites aux pensionnaires des maisons de retraite. En Italie, certains commerces ont déjà pu rouvrir partiellement, même si les premières mesures d'allègement ne seront pas prises avant le 3 mai. En revanche au Royaume-Uni, le confinement instauré le 23 mars a été prolongé d'au moins trois semaines jeudi et le gouvernement n'envisage pas encore d'en sortir. Aux Etats-Unis, l'Etat de New-York a prolongé le confinement jusqu'au 15 mai, alors d'autres Etats ont commencé de leur côté, à relâcher les règles de distanciation, comme en Floride, où certaines plages ont été autorisées à rouvrir dimanche.
Le confinement de la population a des conséquences désastreuses sur l'économie mondiale, comme la chute spectaculaire du pétrole à New York lundi, lequel a rebondi toutefois ce mardi après avoir atteint un niveau négatif jamais vu dans l'histoire. Le cours du baril, passé en-dessous de zéro pour la première fois. Le baril de 159 litres de pétrole brut coté à New York qui s'échangeait encore à 60 dollars en début d'année et à 18,27 dollars vendredi soir, a finalement terminé à -37,63 dollars lundi. "Le problème c'est qu'en ce moment dans le monde, personne ne conduit de voiture", a observé le président américain Donald Trump. "Les usines sont fermées et les commerces sont fermés" poursuit-il. La situation devrait toutefois s'améliorer dans les jours à venir, estiment plusieurs analystes.
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