
Pour Sylvain Miaka Oureto, président par intérim du FPI l’annonce du président ivoirien est une bonne nouvelle. « Nous avons appris cela avec beaucoup de plaisir, de soulagement et d’espérance. Si le président de la République ouvre son cœur pour dire que nous devons aller à la réconciliation, qu’il lance cet appel à ses frères et sœurs du FPI (Front populaire ivoirien) et du LMP (La majorité présidentielle) exilés au Ghana, c’est une main tendue qu’il faut saisir » a souligné le successeur de Mamadou Koulibaly, démissionnaire en juillet dernier, à la tête du FPI.
Sylvain Miaka Oureto est revenu sur la situation des exilés du FPI dans les pays limitrophes, principalement le Ghana : « Des échos nous parviennent que certains ne supportent pas bien cet exil donc il faut qu’ils rentrent et qu’on aille véritablement à la paix pour reconstruire notre pays ».
Le sort des exilés, une fois rentrés en Côte d'Ivoire reste une question importante pour le Front populaire ivoirien : « Si on situe cela dans le cadre de la réconciliation, cela veut dire que tous les frères et sœurs qui rentreraient ne seraient plus poursuivis », avance Sylvain Miaka Oureto.
Car, pour lui c’est « la crainte des uns et des autres en restant à l’étranger. Donc nous pensons que dans l’esprit du président de la République, ce sont toutes ces affaires là qu’il prend en compte ».
Source: Rfi
Sylvain Miaka Oureto est revenu sur la situation des exilés du FPI dans les pays limitrophes, principalement le Ghana : « Des échos nous parviennent que certains ne supportent pas bien cet exil donc il faut qu’ils rentrent et qu’on aille véritablement à la paix pour reconstruire notre pays ».
Le sort des exilés, une fois rentrés en Côte d'Ivoire reste une question importante pour le Front populaire ivoirien : « Si on situe cela dans le cadre de la réconciliation, cela veut dire que tous les frères et sœurs qui rentreraient ne seraient plus poursuivis », avance Sylvain Miaka Oureto.
Car, pour lui c’est « la crainte des uns et des autres en restant à l’étranger. Donc nous pensons que dans l’esprit du président de la République, ce sont toutes ces affaires là qu’il prend en compte ».
Source: Rfi
Autres articles
-
Mozambique : la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader dans le nord, l’Unicef s’inquiète des rapts d’enfants
-
RDC : 25 ans après les massacres de Kisangani, un rapport d'Amnesty International dénonce l’impunité
-
Soudan: au moins 14 morts dans un bombardement d'un camp de déplacés au Darfou
-
Cameroun : après les fuites au baccalauréat, un syndicat enseignant s'inquiète du silence des autorités
-
Migrants en Libye: exactions et vols deviennent la norme, accusent des militants des droits humains