Près de 2000 militants sont invités à participer à des travaux, afin d’officialiser la candidature de Laurent Gbagbo pour représenter les couleurs du PPA-CI à la présidentielle de 2025 en Côte d'Ivoire. L’ancien président prononcera un discours cet après-midi pour présenter son programme.
Au PPA-CI, le choix de cette personnalité fait l’unanimité. Mais à ce stade, son statut pose question : Laurent Gbagbo bénéficie d’une grâce présidentielle depuis août 2022. Mais il a été radié des listes électorales : Laurent Gbagbo est inéligible car ses droits civiques ont été suspendus, suite à une condamnation à vingt ans de prison, dans « l’affaire du braquage la BCEAO ».
En parallèle à cette Convention, son parti entend mener des discussions. Le 15 mars dernier, le PPA-CI a adressé une lettre au Premier ministre afin de solliciter une entrevue pour parler de la réintégration de Laurent Gbagbo sur les listes. Il s’agit là, d’envisager une « négociation politique » indique Jean-Gervais Tchéïdé, le secrétaire général et porte-parole adjoint du parti. « Nous avons un passé récent lourd de souvenirs douloureux, il faut rassurer les populations qu’il peut y avoir des élections sans tumultes. Pour nous, la première chose à faire, c’est de rencontrer le gouvernement pour qu’on se parle », poursuit ce responsable.
Au PPA-CI, le choix de cette personnalité fait l’unanimité. Mais à ce stade, son statut pose question : Laurent Gbagbo bénéficie d’une grâce présidentielle depuis août 2022. Mais il a été radié des listes électorales : Laurent Gbagbo est inéligible car ses droits civiques ont été suspendus, suite à une condamnation à vingt ans de prison, dans « l’affaire du braquage la BCEAO ».
En parallèle à cette Convention, son parti entend mener des discussions. Le 15 mars dernier, le PPA-CI a adressé une lettre au Premier ministre afin de solliciter une entrevue pour parler de la réintégration de Laurent Gbagbo sur les listes. Il s’agit là, d’envisager une « négociation politique » indique Jean-Gervais Tchéïdé, le secrétaire général et porte-parole adjoint du parti. « Nous avons un passé récent lourd de souvenirs douloureux, il faut rassurer les populations qu’il peut y avoir des élections sans tumultes. Pour nous, la première chose à faire, c’est de rencontrer le gouvernement pour qu’on se parle », poursuit ce responsable.