Le garde des Sceaux ivoirien visite la ferme de Saliakro. DR
Ils ne sont pour l'instant que 40, mais ils ont déjà planté leurs gombo, manioc, maïs ou igname. 400 hectares sont alloués à ces prisonniers formés par des professionnels de l'agriculture pour nourrir à terme les détenus de la région, qui pour l'instant n'ont qu'un repas par jour.
Reportage à la ferme pénitentiaire de Saliakro
Source : Rfi.fr
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