Le général Bi Poin est soupçonné d'être impliqué dans l'affaire du charnier découvert à l'Ecole de gendarmerie, dont il était le directeur, jusqu'au mois dernier. Une annonce faite par le colonel-major Vako Bamba, commandant adjoint de la gendarmerie nationale qui n’a pas donné plus de détail sur le dossier, ni sur les reproches qui sont faits à l'ancien homme fort du régime Gbagbo.
Le général Bi Poin avait été l'un des derniers hauts responsables militaires à se rallier au président Ouattara après le dénouement de la crise électorale. Mi-mai, il avait été arrêté puis relâché le même jour dans le cadre d'une enquête sur les crimes commis ces derniers mois.
« Ce n'est pas parce qu'il est remis en liberté qu'il n'a rien fait, c'est parce que nous savons qu'il ne prendra pas la fuite », avait déclaré, à l'époque, le procureur militaire Ange Kessy Kouamé. Le général Bi Poin est associé au Cecos, le centre de commandement des opérations de sécurité, une unité d'élite dédiée à la sécurisation d'Abdidjan. Une unité dissoute depuis par les nouvelles autorités ivoiriennes.
Source: Rfi
Le général Bi Poin avait été l'un des derniers hauts responsables militaires à se rallier au président Ouattara après le dénouement de la crise électorale. Mi-mai, il avait été arrêté puis relâché le même jour dans le cadre d'une enquête sur les crimes commis ces derniers mois.
« Ce n'est pas parce qu'il est remis en liberté qu'il n'a rien fait, c'est parce que nous savons qu'il ne prendra pas la fuite », avait déclaré, à l'époque, le procureur militaire Ange Kessy Kouamé. Le général Bi Poin est associé au Cecos, le centre de commandement des opérations de sécurité, une unité d'élite dédiée à la sécurisation d'Abdidjan. Une unité dissoute depuis par les nouvelles autorités ivoiriennes.
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