L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, le 19 février 2013 à La Haye.
Ce jeudi a lieu une Conférence de presse par le collectif des victimes de Côte d’Ivoire, mais dès hier une première mobilisation a rassemblé une dizaine d’associations. Le président de l’Alliance pour le changement, un mouvement plutôt à caractère politique, exprime sa révolte. « La CPI qui de plus en plus fait face à un certain nombre de critiques veut se crédibiliser, déclare Alphonse Soro. Nous protestons avec la dernière énergie que nous avons. Nous n’attendons rien d’autre ici qu’un procès pour Laurent Gabgbo ».
Et face à la confiance affichée par la mouvance pro-Gbagbo qui espère toujours l’abandon des charges de la Cour pénale internationale contre l’ex-président ivoirien, Alphonse Soro regrette le manque de mobilisation des familles des victimes : « Nous avons ici plusieurs associations et nous ne comptons pas nous arrêter à l’expression de l’indignation et la colère, nous allons nous faire entendre sur le terrain et vous serez témoin de ces manifestations populaires des victimes de la crise ivoirienne ».
Après la décision rendue publique en début de semaine par les trois juges de la Cour pénale internationale, partisans et adversaires de l’ex-chef de l’Etat ivoirien se retrouvent sur un point : tous disent qu’à ce stade, la CPI traite le dossier Gbagbo sous un angle politique.
Source : Rfi.fr
Et face à la confiance affichée par la mouvance pro-Gbagbo qui espère toujours l’abandon des charges de la Cour pénale internationale contre l’ex-président ivoirien, Alphonse Soro regrette le manque de mobilisation des familles des victimes : « Nous avons ici plusieurs associations et nous ne comptons pas nous arrêter à l’expression de l’indignation et la colère, nous allons nous faire entendre sur le terrain et vous serez témoin de ces manifestations populaires des victimes de la crise ivoirienne ».
Après la décision rendue publique en début de semaine par les trois juges de la Cour pénale internationale, partisans et adversaires de l’ex-chef de l’Etat ivoirien se retrouvent sur un point : tous disent qu’à ce stade, la CPI traite le dossier Gbagbo sous un angle politique.
Source : Rfi.fr