En Côte d'Ivoire, la vanne d’un pipeline utilisé pour évacuer des déchets miniers se fissure dimanche 23 juin. Près de trois mètres cube de boue et d’eau de décantation se déversent alors dans un canal de dérivation, sur près de cinq kilomètres, « et une petite partie aurait pu être déversée vers la rivière Cavally », affirme le groupe minier.
Les scientifiques du Ciapol, le Centre ivoirien antipollution, dépêchés sur place recueillent près de « 15 kg de poissons morts » indique une source proche du dossier. Le préfet de Zouan-Hounien recense 185 personnes souffrant de diarrhées, de ballonnements ou de vomissements après avoir consommé de l’eau et des poissons.
Un second incident serait survenu ce samedi 28 juin
La société minière assure que cet incident a depuis été circonscrit. Ce groupe « rejette catégoriquement les allégations de pollution massive du fleuve Cavally et de mise en danger des populations locales » lit-on dans un communiqué. Cette société assure avoir mis à l’arrêt son usine de traitement, réparé la vanne endommagée et procédé à des tests de l’eau de décantation et de l’eau de la rivière.
Mais un second incident serait survenu samedi 28 juin, selon le Ciapol qui s’est déplacé pour y faire de nouveaux prélèvements. Les résultats n’ont pas encore été rendus publics, le groupe Endeavour assure qu’aucun autre incident ne s’est produit.
En attendant d’y voir plus clair, les autorités locales « ont interdit la pêche et demandé aux habitants de ne pas boire l’eau du robinet », indique un élu local.
Les scientifiques du Ciapol, le Centre ivoirien antipollution, dépêchés sur place recueillent près de « 15 kg de poissons morts » indique une source proche du dossier. Le préfet de Zouan-Hounien recense 185 personnes souffrant de diarrhées, de ballonnements ou de vomissements après avoir consommé de l’eau et des poissons.
Un second incident serait survenu ce samedi 28 juin
La société minière assure que cet incident a depuis été circonscrit. Ce groupe « rejette catégoriquement les allégations de pollution massive du fleuve Cavally et de mise en danger des populations locales » lit-on dans un communiqué. Cette société assure avoir mis à l’arrêt son usine de traitement, réparé la vanne endommagée et procédé à des tests de l’eau de décantation et de l’eau de la rivière.
Mais un second incident serait survenu samedi 28 juin, selon le Ciapol qui s’est déplacé pour y faire de nouveaux prélèvements. Les résultats n’ont pas encore été rendus publics, le groupe Endeavour assure qu’aucun autre incident ne s’est produit.
En attendant d’y voir plus clair, les autorités locales « ont interdit la pêche et demandé aux habitants de ne pas boire l’eau du robinet », indique un élu local.