Béatrice Diédhiou n’en revient toujours pas sur la décision de l’écarter de l’élection du concours de Afrcastar qui doit se tenir cette année à Dakar alors qu’elle était tout bonnement et officiellement désignée pour représenter les couleurs de son pays, le Sénégal.
Pire, on ne le lui a même pas signifié. Elle l’a appris par des canaux non officiels. Ce qu’elle dénonce naturellement.
Pour elle, c’est de l’injustice de la priver de Africastar. Ce concours est est un projet qui apprend aux jeunes artistes, les rudiments d’un métier passionnant mais difficile, selon les organisateurs, sous la supervision de professionnels du domaine.
A en croire la jeune fille, il y avait des prémices sur ce qui vient de lui arrivé, aujourd’hui. On lui collait des ragots, a-t-elle confié, le cœur serré, au bout du téléphone.
C’est donc une fille déstabilisée et frustrée qui crie à l’injustice. Toutefois, elle ne compte pas laisser passer cette affaire. Elle entend utiliser d’autres recours pour réparer l’injustice qui lui a été causée.
Cette étudiante de 22 ans, est d’autant plus déçue que depuis deux semaines, elle s’investit corps et âme dans la préparation de cet événement. «J’ai perdu de l’argent, j’ai tout arrêté pour me consacrer à cette élection. Et aujourd’hui, ils viennent me dire qu’ils se sont trompés » se plaind-t-elle avant de déclarer que cela est inadmissible.
Aujourd’hui, elle est remplacée par celle qui était présentée comme une non Sénégalaise.
La deuxième édition du projet culturel Africastar se déroulera à partir du 19 mars prochain à Dakar avec des candidats venus de 14 pays et sera diffusée dans 25 pays, ont annoncé les organisateurs. Et se poursuivra jusqu’au 29 mai prochain et devrait attirer l’attention d’environ 220 millions de téléspectateurs contre 70 millions pour la première édition.
Les candidats viendront des pays suivants : Sénégal, Mali, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Maroc, Cap-Vert, Congo, République démocratique du Congo, Togo, Algérie, Côte d’Ivoire, Gabon, France.
Le vainqueur de cette rencontre culturelle recevra un chèque de 10 millions de francs CFA, une voiture 4X4, d’autres lots ainsi que le droit d’enregistrer un disque chez un major ou un label indépendant.
Pire, on ne le lui a même pas signifié. Elle l’a appris par des canaux non officiels. Ce qu’elle dénonce naturellement.
Pour elle, c’est de l’injustice de la priver de Africastar. Ce concours est est un projet qui apprend aux jeunes artistes, les rudiments d’un métier passionnant mais difficile, selon les organisateurs, sous la supervision de professionnels du domaine.
A en croire la jeune fille, il y avait des prémices sur ce qui vient de lui arrivé, aujourd’hui. On lui collait des ragots, a-t-elle confié, le cœur serré, au bout du téléphone.
C’est donc une fille déstabilisée et frustrée qui crie à l’injustice. Toutefois, elle ne compte pas laisser passer cette affaire. Elle entend utiliser d’autres recours pour réparer l’injustice qui lui a été causée.
Cette étudiante de 22 ans, est d’autant plus déçue que depuis deux semaines, elle s’investit corps et âme dans la préparation de cet événement. «J’ai perdu de l’argent, j’ai tout arrêté pour me consacrer à cette élection. Et aujourd’hui, ils viennent me dire qu’ils se sont trompés » se plaind-t-elle avant de déclarer que cela est inadmissible.
Aujourd’hui, elle est remplacée par celle qui était présentée comme une non Sénégalaise.
La deuxième édition du projet culturel Africastar se déroulera à partir du 19 mars prochain à Dakar avec des candidats venus de 14 pays et sera diffusée dans 25 pays, ont annoncé les organisateurs. Et se poursuivra jusqu’au 29 mai prochain et devrait attirer l’attention d’environ 220 millions de téléspectateurs contre 70 millions pour la première édition.
Les candidats viendront des pays suivants : Sénégal, Mali, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Maroc, Cap-Vert, Congo, République démocratique du Congo, Togo, Algérie, Côte d’Ivoire, Gabon, France.
Le vainqueur de cette rencontre culturelle recevra un chèque de 10 millions de francs CFA, une voiture 4X4, d’autres lots ainsi que le droit d’enregistrer un disque chez un major ou un label indépendant.