"L’arrestation du président par intérim, Raimundo Pereira, et du Premier ministre Carlos Gomes Junior, l’interruption du processus électoral en cours et la dissolution des Institutions constituent une violation flagrante de la Constitution et sont, à ce titre, totalement inacceptables", a déclaré M. Diouf.
Il rappelle que, conformément aux dispositions de la Déclaration de Bamako, "la Francophonie condamne les coups d’Etat et toute prise de pouvoir par la violence, les armes ou quelque autre moyen illégal".
Le Secrétaire général de l’OIF appelle à la libération immédiate des responsables politiques retenus par la force, au rétablissement des autorités légales et au fonctionnement régulier des institutions, ainsi qu’à la tenue rapide du deuxième tour de l’élection présidentielle.
"Nous devons, à présent, refuser avec fermeté toutes les manœuvres qui ne sont pas conformes à la constitution et aux principes de la démocratie et de l’Etat de droit, et exiger le strict respect des droits et des libertés", a ajouté M. Diouf.
Le Secrétaire général de la Francophonie appelle à un soutien aux initiatives de la CEDEAO et indique qu’il saisira dans les meilleurs délais les instances de la Francophonie conformément aux dispositions du Chapitre 5 de la Déclaration de Bamako.
Il rappelle que, conformément aux dispositions de la Déclaration de Bamako, "la Francophonie condamne les coups d’Etat et toute prise de pouvoir par la violence, les armes ou quelque autre moyen illégal".
Le Secrétaire général de l’OIF appelle à la libération immédiate des responsables politiques retenus par la force, au rétablissement des autorités légales et au fonctionnement régulier des institutions, ainsi qu’à la tenue rapide du deuxième tour de l’élection présidentielle.
"Nous devons, à présent, refuser avec fermeté toutes les manœuvres qui ne sont pas conformes à la constitution et aux principes de la démocratie et de l’Etat de droit, et exiger le strict respect des droits et des libertés", a ajouté M. Diouf.
Le Secrétaire général de la Francophonie appelle à un soutien aux initiatives de la CEDEAO et indique qu’il saisira dans les meilleurs délais les instances de la Francophonie conformément aux dispositions du Chapitre 5 de la Déclaration de Bamako.