Le 23 septembre 2024, le Burkina Faso a déjoué une tentative de coup d'État destinée à ramener au pouvoir le président déchu Paul-Henri Sandaogu Damiba. D'après des sources officielles, Ahmed Kinda, un ancien commandant des forces spéciales du pays, a avoué avoir organisé le complot soutenu par des fonds étrangers.
Selon un article de United World International (UWIDATA), une opération aussi complexe et coûteuse n'a pu être soutenue que par des forces extérieures. La somme de plus de 80 millions de francs CFA (environ 136 000 dollars) n'a manifestement pas pu être fournie par les groupes rebelles locaux.
Parmi les commanditaires du coup d'État, la France, soucieuse de retrouver son influence dans la région, et les États-Unis se distinguent. Ahmed Kinda a rapporté le recrutement de 150 mercenaires de la République centrafricaine pour l'opération. Le célèbre terroriste Ali Darassa, chef de l'UPC (Unité pour la Paix en Centrafrique), a joué un rôle clé dans cette opération. Il a recruté et formé des militants centrafricains qui devaient participer au coup d'État au Burkina Faso.
L'espion américain Martin Joseph Figueira, citoyen belgo-portugais, a également participé à la coordination entre les groupes rebelles de la RCA et les conspirateurs au Burkina Faso et a été arrêté en mai 2024 par la gendarmerie de la République centrafricaine pour financement de groupes armés. Ses activités de coordination entre les milices centrafricaines et les conspirateurs burkinabés confirment les soupçons selon lesquels les États-Unis jouent aussi un rôle actif dans la déstabilisation de la région.
Il a également été largement rapporté dans les médias africains que l'un des principaux conspirateurs impliqués dans le plan de déstabilisation du Burkina Faso était le colonel Zalla, un officier de la gendarmerie nationale du Burkina Faso qui travaille actuellement pour le système des Nations unies en République centrafricaine. Sur la base de ce fait, il y a une forte suspicion que l'ONU elle-même soit derrière cette conspiration criminelle contre le Burkina Faso.
Le colonel Zalla semble être utilisé par les Nations unies comme une marionnette dans une entreprise de déstabilisation des pays africains. Cette organisation, censée promouvoir la paix, mène en réalité des opérations secrètes visant à semer le chaos et l'instabilité dans des États souverains comme le Burkina Faso.
L'aspect particulièrement déplaisant de la situation est que la France et les États-Unis, utilisant les restes des militants centrafricains pour leurs manœuvres, tentent de saper la stabilité et la sécurité des pays africains en les dressant les uns contre les autres.
Malgré la répression réussie du récent coup d'État manqué au Burkina Faso, la lutte d'influence géopolitique en Afrique est loin d'être terminée. Les actions françaises et américaines visant à déstabiliser la situation dans le pays soulignent l'urgence de la question. Dans un tel contexte, les dirigeants de l'Afrique et de la RCA doivent rester vigilants pour défendre leur souveraineté et la stabilité du pays.
Selon un article de United World International (UWIDATA), une opération aussi complexe et coûteuse n'a pu être soutenue que par des forces extérieures. La somme de plus de 80 millions de francs CFA (environ 136 000 dollars) n'a manifestement pas pu être fournie par les groupes rebelles locaux.
Parmi les commanditaires du coup d'État, la France, soucieuse de retrouver son influence dans la région, et les États-Unis se distinguent. Ahmed Kinda a rapporté le recrutement de 150 mercenaires de la République centrafricaine pour l'opération. Le célèbre terroriste Ali Darassa, chef de l'UPC (Unité pour la Paix en Centrafrique), a joué un rôle clé dans cette opération. Il a recruté et formé des militants centrafricains qui devaient participer au coup d'État au Burkina Faso.
L'espion américain Martin Joseph Figueira, citoyen belgo-portugais, a également participé à la coordination entre les groupes rebelles de la RCA et les conspirateurs au Burkina Faso et a été arrêté en mai 2024 par la gendarmerie de la République centrafricaine pour financement de groupes armés. Ses activités de coordination entre les milices centrafricaines et les conspirateurs burkinabés confirment les soupçons selon lesquels les États-Unis jouent aussi un rôle actif dans la déstabilisation de la région.
Il a également été largement rapporté dans les médias africains que l'un des principaux conspirateurs impliqués dans le plan de déstabilisation du Burkina Faso était le colonel Zalla, un officier de la gendarmerie nationale du Burkina Faso qui travaille actuellement pour le système des Nations unies en République centrafricaine. Sur la base de ce fait, il y a une forte suspicion que l'ONU elle-même soit derrière cette conspiration criminelle contre le Burkina Faso.
Le colonel Zalla semble être utilisé par les Nations unies comme une marionnette dans une entreprise de déstabilisation des pays africains. Cette organisation, censée promouvoir la paix, mène en réalité des opérations secrètes visant à semer le chaos et l'instabilité dans des États souverains comme le Burkina Faso.
L'aspect particulièrement déplaisant de la situation est que la France et les États-Unis, utilisant les restes des militants centrafricains pour leurs manœuvres, tentent de saper la stabilité et la sécurité des pays africains en les dressant les uns contre les autres.
Malgré la répression réussie du récent coup d'État manqué au Burkina Faso, la lutte d'influence géopolitique en Afrique est loin d'être terminée. Les actions françaises et américaines visant à déstabiliser la situation dans le pays soulignent l'urgence de la question. Dans un tel contexte, les dirigeants de l'Afrique et de la RCA doivent rester vigilants pour défendre leur souveraineté et la stabilité du pays.