La chaine privée Walfadjri est depuis tout à l'heure privée de son signal et de sa lincence. Une " forfaiture" que condamne vigoureusement le Synpics. Le syndicat des journalistes défend les droits de Walf entant que média."Comme toutes les chaînes de télévision du pays, Walf TV est en droit de tenir un plateau spécial sur la situation politico-institutionnel du pays, marquée par la suspension du processus électoral décidée par le Président de la République samedi" a défendu le syndicat des professionnels de l'information. D'après le Synpics, cette coupure du signal est d’autant plus alarmante "qu’elle survient sans les procédures de « mise en demeure » prévues par la Loi portant Code de la Presse et sans qu’aucun grief objectif ne soit opposé aux dirigeants de la télévision. Elle n’est pas non plus le fait de l’autorité administrative habilitée".
Par ailleurs, l'association de défense des journalistes, a lancé un appel au CNRA et aux médias " le SYNPICS en appelle au sens de la responsabilité de l’organe de régulation et invite les médias à une couverture professionnelle de l’actualité politico-institutionnelle". Au-delà, le synpics a tenu à rappeler aux forces de défense et de sécurité, " de veiller à la libre pratique du métier de journaliste par les personnes habilitées et identifiées comme telles, sans entrave autre que les limites éthique et déontologique".
Et tout au plus, conclut l'organisme de défense des journalistes, " deux consœurs ont été brièvement interpellées par la gendarmerie alors qu’elles ne faisaient que couvrir une activité politique organisée par les acteurs de l’opposition".
Par ailleurs, l'association de défense des journalistes, a lancé un appel au CNRA et aux médias " le SYNPICS en appelle au sens de la responsabilité de l’organe de régulation et invite les médias à une couverture professionnelle de l’actualité politico-institutionnelle". Au-delà, le synpics a tenu à rappeler aux forces de défense et de sécurité, " de veiller à la libre pratique du métier de journaliste par les personnes habilitées et identifiées comme telles, sans entrave autre que les limites éthique et déontologique".
Et tout au plus, conclut l'organisme de défense des journalistes, " deux consœurs ont été brièvement interpellées par la gendarmerie alors qu’elles ne faisaient que couvrir une activité politique organisée par les acteurs de l’opposition".