Depuis quelques temps, on a noté un véritable réchauffement du front social. Partout, ça bouge. Les manifestations font légion dans le pays. Une grande part de cette situation est causée par la SENELEC qui ne cesse de fâcher les populations sénégalaises. Chaque jour que Dieu fait, cette société nationale d’électricité tient des propos différents. Des explications alambiquées au point que les populations ont décidé de se faire entendre à travers des manifestations. C’est dans ce cadre que de différentes contrées comme Kaolack, Mbour, Tambacounda, Saint-Louis, entre autre, ont manifesté. Hier, d’ailleurs, ces manifestations ont abouti à un drame tragique, celui de la mort d’un jeune homme dans la banlieue de Dakar (Ben Barak). A Mbour, des émeutes de jeunes mécontents de la gestion des autorités de la SENELEC, ayant occasionné les casses des locaux de ladite société, ont abouti au temple de Thémis. A cette situation déjà électrique, des imams menacent de descendre dans la rue si ces services défectueux de la société d’électricité continuent.
Le secteur de la santé n’est pas mieux loti. Ces derniers jours, on a vu des blouses blanches se faire mater par des policiers. Les internes des hôpitaux sont arrivés à un vrai combat avec les policiers après avoir fermé les portes de l’établissement de santé (Aristide Le Dantec) de 8 heures à 10 heures pour manifester leur mécontentement contre leur traitement après tant d’années d’études. D’ailleurs, ces internes des hôpitaux, qui sont très remontés contre les autorités, poursuivent leur mouvement d’humeur. Plus près, à Soumbédioume, les pêcheurs n’ont pas fini de ruminer leur colère après la mort par fusillade de leur collègue, Moustapha Sarr.
Que Dire des problèmes d'inondations qui malgré les tentatives de solutions n'ont pas encore trouvé d'issues heureuses au point que des populations habitent les pieds dans l'eau depuis 2005, 365/365 jours. Des circonstances qui laissent ces habitants de la banlieue dakaroise sur leur qui-vive.
Chez les techniciens du transport aérien et leur ministère de tutelle, ce n’est pas le parfait amour. C’est plutôt une véritable guerre qui est déclenchée après que les locataires de l’aéroport Léopold Sédar Senghor se sont sentis injuriés par les services de leur hiérarchie, qui s’est retirée de leurs préoccupations et les ont traités, selon leurs dires, d’irresponsables. Au même moment, la corbeille de la ménagère se fait plus légère avec les hautes notées de certains produits de première nécessité comme le lait et la viande. Sans compter la pléthore de ministères qui vient alourdir les dépenses étatiques.
Autant de problèmes, entre autres, en suspens, qui montrent que le Sénégal est perché sur un cocktail explosif. Et que les autorités étatiques doivent trouver des solutions le plus vite possible pour éviter au Sénégal des lendemains douloureux. Ce qui n’est souhaitable pour personne.
Le secteur de la santé n’est pas mieux loti. Ces derniers jours, on a vu des blouses blanches se faire mater par des policiers. Les internes des hôpitaux sont arrivés à un vrai combat avec les policiers après avoir fermé les portes de l’établissement de santé (Aristide Le Dantec) de 8 heures à 10 heures pour manifester leur mécontentement contre leur traitement après tant d’années d’études. D’ailleurs, ces internes des hôpitaux, qui sont très remontés contre les autorités, poursuivent leur mouvement d’humeur. Plus près, à Soumbédioume, les pêcheurs n’ont pas fini de ruminer leur colère après la mort par fusillade de leur collègue, Moustapha Sarr.
Que Dire des problèmes d'inondations qui malgré les tentatives de solutions n'ont pas encore trouvé d'issues heureuses au point que des populations habitent les pieds dans l'eau depuis 2005, 365/365 jours. Des circonstances qui laissent ces habitants de la banlieue dakaroise sur leur qui-vive.
Chez les techniciens du transport aérien et leur ministère de tutelle, ce n’est pas le parfait amour. C’est plutôt une véritable guerre qui est déclenchée après que les locataires de l’aéroport Léopold Sédar Senghor se sont sentis injuriés par les services de leur hiérarchie, qui s’est retirée de leurs préoccupations et les ont traités, selon leurs dires, d’irresponsables. Au même moment, la corbeille de la ménagère se fait plus légère avec les hautes notées de certains produits de première nécessité comme le lait et la viande. Sans compter la pléthore de ministères qui vient alourdir les dépenses étatiques.
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