Ainsi, ils sont ainsi plus de cinquante de nos compatriotes à vouloir être sur la ligne de départ pour la présidentielle de février 2024. Tous veulent être à la place du Calife qui a été poussé à céder le trône malgré ses rodomontades, faisant croire que rien ne l’y obligeait. Le pauvre ! Beaucoup d’entre ces messieurs et dames sont cependant des courtiers de la politique. Rien en fait ne les distingue de ceux de l’immobilier ou du secteur des transports de ce pays des paradoxes.
Ce sont des rabatteurs qui espèrent se retrouver avec le jackpot. Le plus commun parmi ces plaisantins reste un saltimbanque de la musique dont les soirées se jouent en présence de deux pelés et trois tondus. Cela fait sa notoriété et lui permet de bien vivre. Bien entendu, pour ne pas mourir idiot, il a tôt fait de se désister, la quéquette basse, pour, dit-il, se ranger derrière le plus liquide des prétendants au fauteuil et qui dé- gaine sans trembler. Vous l’avez reconnu ? C’est l’ancien fonctionnaire devenu milliardaire.
La politique, ça vous engraisse, vous donne de l’embonpoint. Après quoi, on peut venir narguer la plèbe et vouloir acheter ses suffrages. Beaucoup d’entre eux ceux qui veulent nous diriger ont quitté leurs activités antérieures — où ils ne mouraient pas de faim ! — pour s’en- gager en politique et y rester malgré les crocs en jambes. Ils vous diront que c’est pour la bonne cause tout en sachant que, ce n’est pas vrai car, la politique dans notre pays, ça rap- porte plus qu’ailleurs, on vous dit !
Un retour sur investissement qui n’existe dans aucun autre secteur et dans aucun autre pays au monde d’ailleurs. Vous comprendrez alors ce qui explique toutes ces candidatures farfelues de messieurs et dames dont certains restent d’illustres inconnus dans leur propre quartier. Bien entendu de sérieux profils se sont essayés aux différentes élections où ils ont pu mesurer leur poids électoral. Mais cela ne leur suffit pas, il faut bien qu’ils existent. Tant pis...
Seulement voilà, il est sur qu’ils ne seront même pas une dizaine à passer le filtre du parrainage. Mais d’ici que la liste officielle des candidats soit publiée par le Conseil constitutionnel, ils vont se faire une pub d’enfer à travers une presse et des réseaux sociaux en manque de contenus et disputer le trottoir avec les péripatéticiennes à travers de honteux racolages. Vendre leur charme au plus offrant et espérer en retour des dividendes en cas de victoire de leur candidat, voilà ce qui constituerait le jackpot pour eux. Le retour sur investissement idéal !
Par KACCOR, Le Témoin
Ce sont des rabatteurs qui espèrent se retrouver avec le jackpot. Le plus commun parmi ces plaisantins reste un saltimbanque de la musique dont les soirées se jouent en présence de deux pelés et trois tondus. Cela fait sa notoriété et lui permet de bien vivre. Bien entendu, pour ne pas mourir idiot, il a tôt fait de se désister, la quéquette basse, pour, dit-il, se ranger derrière le plus liquide des prétendants au fauteuil et qui dé- gaine sans trembler. Vous l’avez reconnu ? C’est l’ancien fonctionnaire devenu milliardaire.
La politique, ça vous engraisse, vous donne de l’embonpoint. Après quoi, on peut venir narguer la plèbe et vouloir acheter ses suffrages. Beaucoup d’entre eux ceux qui veulent nous diriger ont quitté leurs activités antérieures — où ils ne mouraient pas de faim ! — pour s’en- gager en politique et y rester malgré les crocs en jambes. Ils vous diront que c’est pour la bonne cause tout en sachant que, ce n’est pas vrai car, la politique dans notre pays, ça rap- porte plus qu’ailleurs, on vous dit !
Un retour sur investissement qui n’existe dans aucun autre secteur et dans aucun autre pays au monde d’ailleurs. Vous comprendrez alors ce qui explique toutes ces candidatures farfelues de messieurs et dames dont certains restent d’illustres inconnus dans leur propre quartier. Bien entendu de sérieux profils se sont essayés aux différentes élections où ils ont pu mesurer leur poids électoral. Mais cela ne leur suffit pas, il faut bien qu’ils existent. Tant pis...
Seulement voilà, il est sur qu’ils ne seront même pas une dizaine à passer le filtre du parrainage. Mais d’ici que la liste officielle des candidats soit publiée par le Conseil constitutionnel, ils vont se faire une pub d’enfer à travers une presse et des réseaux sociaux en manque de contenus et disputer le trottoir avec les péripatéticiennes à travers de honteux racolages. Vendre leur charme au plus offrant et espérer en retour des dividendes en cas de victoire de leur candidat, voilà ce qui constituerait le jackpot pour eux. Le retour sur investissement idéal !
Par KACCOR, Le Témoin