"J’invite les journalistes à être très vigilants par rapport à ce que nous véhiculons en termes d’information et à aller au fond des choses. Nous ne devons pas nous contenter des éléments de langages des candidats parce que c’est là où la manipulation n’est pas loin’’, cette invite est du président du Cored, le journaliste Mamadou Thior. Un appel lancé lors d'une intervention du cas d'école qu'avait tenu ce mercredi le Cored. "Nous avons voulu organiser ce cas d’école en partant des expériences antérieures. C’est-à-dire de 1993 jusqu’en 2019, avec les différentes campagnes électorales organisées au cours de cette période", a fait savoir Monsieur.
Selon toujours, monsieur Thior l'information en temps de campagne électorale revêt un caractère de manipulations. D'où cet appel à la vigilance qui plus concerne les reporters appelés à côtoyer pendant trois semaines les différents candidats. Et cette année comme l'a rappelé, le journaliste, "la campagne reste particulière", en ce sens qu'elle bat le record du nombre de candidats. Ils sont vingt candidats à pourvoir le fauteuil présidentiel.
Ce nombre "pléthorique" de candidats, à en croire, monsieur Thior peut-être préjudiciable aux rédactions qui, dans la majorité manquent de bras. "Quand je vois un peu la taille de nos rédactions qui comptent en moyenne entre 15 et 20 journalistes maximum", cela donne une idée des difficultés attendus, puisque ‘’je n’imagine pas une rédaction mettre tous ses reporters pour couvrir la campagne électorale’’, a informé le président du Cored.
Selon toujours, monsieur Thior l'information en temps de campagne électorale revêt un caractère de manipulations. D'où cet appel à la vigilance qui plus concerne les reporters appelés à côtoyer pendant trois semaines les différents candidats. Et cette année comme l'a rappelé, le journaliste, "la campagne reste particulière", en ce sens qu'elle bat le record du nombre de candidats. Ils sont vingt candidats à pourvoir le fauteuil présidentiel.
Ce nombre "pléthorique" de candidats, à en croire, monsieur Thior peut-être préjudiciable aux rédactions qui, dans la majorité manquent de bras. "Quand je vois un peu la taille de nos rédactions qui comptent en moyenne entre 15 et 20 journalistes maximum", cela donne une idée des difficultés attendus, puisque ‘’je n’imagine pas une rédaction mettre tous ses reporters pour couvrir la campagne électorale’’, a informé le président du Cored.
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