Les autorités ont enregistré ces derniers jours une recrudescence importante des cas d'infections par le Covid-19, alors même que des premiers cas d'une variante du virus ont été détectés la semaine dernière. Le pays devient le premier du continent africain à dépasser le million de cas positifs.
Face à la détérioration de la situation, les autorités sud-africaines insistent sur la discipline. Le directeur adjoint du ministère de la Santé a rappelé dimanche que l'un des facteurs les plus importants de la propagation de la maladie était le non-respect des mesures sanitaires : port du masque, respect de la distanciation physique et le lavage des mains. Le jour de Noël, le ministre de la Santé a même indiqué dans une interview que les mesures de confinement actuelles pourraient être rapidement durcies.
Et désormais, tous les regards sont portés vers les services hospitaliers : les autorités de plusieurs provinces ont demandé à la population de ne se rendre dans les établissements publics qu'en cas d'urgence.
De fait, à en juger par les chiffres officiels, l'Afrique du Sud est clairement engagée dans sa « deuxième vague ». Au pire moment de la première, mi-juillet, le pays enregistrait 13 000 contaminations nouvelles par jour. Or, depuis la veille de Noël, il enregistre au moins 14 000 nouveaux cas, ainsi qu'une augmentation mathématique des décès liés à la maladie. En tout, plus de 26 000 Sud-Africains ont perdu la vie après être tombés malades depuis le mois de mars.
Face à la détérioration de la situation, les autorités sud-africaines insistent sur la discipline. Le directeur adjoint du ministère de la Santé a rappelé dimanche que l'un des facteurs les plus importants de la propagation de la maladie était le non-respect des mesures sanitaires : port du masque, respect de la distanciation physique et le lavage des mains. Le jour de Noël, le ministre de la Santé a même indiqué dans une interview que les mesures de confinement actuelles pourraient être rapidement durcies.
Et désormais, tous les regards sont portés vers les services hospitaliers : les autorités de plusieurs provinces ont demandé à la population de ne se rendre dans les établissements publics qu'en cas d'urgence.
De fait, à en juger par les chiffres officiels, l'Afrique du Sud est clairement engagée dans sa « deuxième vague ». Au pire moment de la première, mi-juillet, le pays enregistrait 13 000 contaminations nouvelles par jour. Or, depuis la veille de Noël, il enregistre au moins 14 000 nouveaux cas, ainsi qu'une augmentation mathématique des décès liés à la maladie. En tout, plus de 26 000 Sud-Africains ont perdu la vie après être tombés malades depuis le mois de mars.